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La papeterie d’Alizay (27) redémarre

Posté par cgtchapelledarblayupm le 31 mai 2013

Comme prévu, le papetier M-Real d’Alizay est passé entre les mains du thaïlandais Double A, après une période de flou durantLa papeterie d’Alizay (27) redémarre dans CGT UPM Chapelle Darblay 669b7b38586bddd2c2a49198b86942d4 laquelle l’usine a été maintenue en hibernation sous l’égide du conseil général, et cent cinquante salariés, parmi lesquels 80 % d’anciens de M-Real, ont été recrutés pour relancer la production.

On sait maintenant que l’usine va redémarrer, et pour l’intersyndicale, qui a œuvré en faveur du maintien du site, c’est une nouvelle très positive. Même si depuis trois ans, tout le monde attend, et même si l’usine du temps de sa splendeur faisait travailler largement plus de trois cents personnes. A terme, il est prévu qu’environ deux cents salariés fassent tourner la papeterie, ce qui n’est déjà pas si mal de l’avis de tous.

On est tellement content que ça redémarre bientôt ! se disent en substance les salariés concernés, trop heureux de pouvoir enfin redémarrer cette production, même si dans un premier temps il faudra aménager la production pour permettre les adaptations et tests indispensables au redémarrage dans de bonnes conditions. 

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UPM Docelles, pas d’avancée notable.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 31 mai 2013

 UPM Docelles, pas d’avancée notable.

UPM Docelles, pas d’avancée notable. dans CGT UPM Chapelle Darblay philippe-et-jean-marc-louvet-300x286-150x143La troisième réunion organisée ce lundi en Préfecture des Vosges entre le Préfet, les dirigeants  d’UPM (Philippe Pinard, directeur des papeteries de Docelles et Jean-Marc Louvet, Président d’UMP France), les représentants syndicaux et différents élus n’aura pas apporté de nouvelles positives aux 167 salariés du site de Docelles.


Jean-Marc Louvet n’est évidemment pas revenu sur la décision de vendre le site vosgien à échéance du 17 juillet. Une stratégie du groupe qui souhaite se « libérer » du créneau papier graphique, plus vraiment dans l’air du temps. Il a toutefois réaffirmé son souhait de voir poindre un repreneur. Tout  n’est donc pas négatif, 3 entreprises ont visité le site au mois de mai. Wait and see…

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Réforme des retraites : la France sous la pression de l’Europe

Posté par cgtchapelledarblayupm le 30 mai 2013

Réforme des retraites : la France sous la pression de l’Europe (Les Echos) – Bruxelles tire au canon sur le modèle social (L’Humanité)

jeudi 30 mai 2013

Les Echos

Réforme des retraites : la France sous la pression de l’Europe

Bruxelles recommande de relever l’âge légal, de désindexer les pensions et de réformer les régimes spéciaux. « La Commission n’a pas à nous dicter ce que nous avons à faire », répond François Hollande.

Pour Bruxelles, c’est une sorte de « pacte ». La Commission européenne a confirmé hier que Paris avait obtenu deux ans de plus pour ramener son déficit public sous la barre des 3 % du PIB. Mais elle attend en échange un cycle de réformes ambitieuses

« En donnant deux ans, nous n’avons pas choisi une solution de facilité, au contraire », a déclaré le président de la Commission, José Manuel Barroso, alors que nombre de pays estiment que Paris bénéficie d’un traitement de faveur et voient dans la perte de compétitivité de la France une source d’inquiétude.

Bruxelles a ainsi précisé la trajectoire d’assainissement des finances publiques pour la France : le déficit ne devra pas dépasser 3,9 % cette année, 3,6 % l’an prochain et 2,8 % en 2015. L’effort pour 2013 est peu ou prou celui anticipé par Bercy. Ensuite, il restera soutenu, en dépit du délai de deux ans (lire page 3).

Au-delà de l’assainissement budgétaire, la Commission détaille les réformes structurelles qui lui semblent prioritaires. Le programme de réformes, objet de discussions régulières avec Paris, correspond en grande partie aux attentes, mais les recommandations de Bruxelles sont bien plus incisives et détaillées que l’an dernier (lire ci-dessous), en particulier concernant le chantier le plus urgent : la réforme des retraites, qui doit être achevée à la fin de l’été.

Une voie semée d’embûches

La Commission européenne estime ainsi que les premières mesures doivent être prises dès cette année afin d’équilibrer le régime en 2020, au plus tard. La voie tracée est étroite et semée d’embûches : Bruxelles suggère d’adapter les règles d’indexation (les pensions n’augmenteraient plus comme l’inflation), d’augmenter l’âge légal de départ au-delà de 62 ans ainsi que la durée de cotisation et de revoir les règles propres aux régimes spéciaux. En outre, elle recommande instamment d’éviter toute hausse des cotisations.

Cela n’a pas manqué de susciter des réactions en France. « La Commission n’a pas à nous dicter ce que nous avons à faire », a déclaré François Hollande hier, à Rodez. « Pour ce qui concerne les réformes structurelles, notamment les réformes des retraites, c’est à nous et à nous seuls de dire quel sera le bon chemin pour atteindre l’objectif. » Ce qui n’empêche pas le chef de l’Etat d’appeler de ses voeux, comme il l’a fait le 16 mai, la constitution d’un gouvernement économique de la zone euro faisant converger les politiques économiques et budgétaires…

Outre les grands chantiers de réforme évoqués ces dernières semaines (coût et marché du travail, libéralisation de certains marchés et services…), la Commission émet aussi des réserves sur la réforme de la décentralisation. Le prochain rendez-vous avec Bruxelles est prévu à l’automne, avec la présentation du budget 2014. Ce dernier, qui devra détailler comment la France compte parvenir aux objectifs qu’elle s’est engagée à respecter, sera examiné de près par la Commission.

***********************************************************

L’Humanité

Le programme de réformes fixé par la Commission européenne, en contrepartie d’un délai de deux ans pour réduire le déficit public, s’attaque lourdement au système des retraites, mais aussi aux services publics, à l’indemnisation du chômage

C’est cher, très cher payé. La Commission européenne a publié hier les « recommandations » de politique économique qu’elle demande au gouvernement français d’appliquer, en contrepartie du délai de deux ans (jusqu’à 2015) donné à notre pays pour ramener son déficit public au-dessous de 3 %. De la retraite à la fiscalité en passant par le marché du travail et les services, il s’agit d’une véritable déclaration de guerre contre le « modèle social » français.

Retraite

Retraite : une régression généralisée En matière de retraite, la Commission demande à Paris d’aller vite et de frapper fort. La réforme prévue par le gouvernement Ayrault « devrait être adoptée avant la fin de l’année ». Bruxelles préconise d’agir tout à la fois en « adaptant les règles d’indexation, en augmentant encore l’âge légal de départ à la retraite et la durée de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein et en réexaminant les régimes spéciaux, tout en évitant une augmentation des cotisations sociales patronales ».

Derrière l’adaptation des règles d’indexation se dissimule l’intention d’imposer une revalorisation annuelle des pensions inférieure à l’inflation. Soit une baisse du pouvoir d’achat net, comme le patronat a réussi à le mettre en oeuvre dans les régimes complémentaires Agirc-Arrco.

Et le gouvernement a déjà laissé comprendre qu’il est tenté de s’en inspirer pour le régime général. Et s’il dit ne pas vouloir toucher à l’âge légal (soixante-deux ans, selon la dernière réforme de 2010, qui n’est pas remise en question), il envisage aussi clairement un allongement de la durée obligatoire de cotisation. Manière de durcir l’accès à la retraite, en particulier pour les femmes, les précaires

Pousser les feux de la concurrence dans les services

La Commission appelle à poursuivre et à amplifier l’entreprise de déréglementation des services publics, au nom de la concurrence. Elle vise d’abord les services professionnels qui souffriraient de trop de restrictions  : vétérinaires, avocats, taxis, certaines professions de santé, notaires

Elle cible aussi les réglementations encore imposées au commerce de détail. Elle s’attaque également aux tarifs réglementés du gaz et de l’électricité, recommandant leur suppression « pour les clients autres que les ménages ».

Dans le secteur ferroviaire, elle réclame l’ouverture du transport intérieur de passager à la concurrence. Et ajoute : « La prochaine réforme devrait faire en sorte que le nouveau gestionnaire unique des infrastructures reste indépendant de l’opérateur historique afin de garantir un accès équitable et non discriminatoire aux nouveaux entrants  » sur le marché.

Nouveau coup de massue fiscal

20 milliards d’euros accordés aux entreprises, sous la forme d’allégement fiscaux, par le biais du Crédit d’impôt compétitivité, c’est bien, mais insuffisant, estime la Commission européenne. « Les entreprises françaises doivent être davantage encouragées.  » Il faut « poursuivre la réduction du coût du travail, notamment en adoptant d’autres mesures pour réduire les cotisations sociales patronales  ».

Et de préconiser de basculer une partie de celles-ci vers la consommation ou vers la fiscalité écologique. Alors que le taux de TVA intermédiaire doit passer en janvier 2014 de 7 à 10 %, soit une hausse d’impôts de 6 à 7 milliards d’euros, la Commission propose d’aller encore plus loin. Elle demande de rapprocher les taux réduits du taux normal de TVA, de réduire le taux des impôts sur le revenu et sur les sociétés.

Marché du travail : aller plus loin que l’ANI

La Commission européenne recommande de « mettre en oeuvre intégralement et sans délai » la loi sur l’emploi, issue de l’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, qui dynamite le Code du travail.

Mais l’acte I de la flexisécurité à la française, voulu par le Medef, ne va pas assez loin pour Bruxelles. La Commission préconise donc de « prendre des mesures supplémentaires pour lutter contre la segmentation du marché, notamment pour apporter une solution au cas des travailleurs intérimaires ».

Une négociation est actuellement en cours entre patronat et syndicats sur le CDI intérimaire. Le Prisme (syndicat patronal de l’intérim) met la pression pour précariser au maximum le statut des salariés du travail temporaire. La Commission européenne évoque également la négociation sur l’assurance chômage qui devrait se tenir d’ici à fin 2013.

Elle conseille d’opérer « une réforme du système d’indemnisation du chômage, pour garantir la viabilité du système tout en faisant en sorte que celui-ci encourage de manière adéquate le retour à l’emploi ». Une proposition à peine voilée de retourner à la dégressivité des allocations de chômage, ardemment souhaitée par le Medef. ■

par Nicolas Dutent, Yves Housson, Clotilde Mathieu, Et Cécile Rousseau HQ

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La CFDT et le Medef, tous ensemble, ouais !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 30 mai 2013

La CFDT et le Medef, tous ensemble, ouais !

jeudi 30 mai 2013

Un grand raout se tenait, mardi au siège de l’organisation patronale, pour célébrer la sortie des propositions communes sur la croissance.

Mardi soir, dans le grand auditorium du Medef, Laurence Parisot est « fière et heureuse » de partager la scène avec des syndicalistes. Sur la couverture du rapport Réinventer la croissance, agir ensemble pour une dynamique économique, les logos de trois organisations patronales (Medef, CGPME et UPA) et de trois syndicats (CFDT, CFTC et CGC) forment, relève-t-elle, « une ronde »

« Cela me fait penser au poème : Ah, si tous les gars du monde voulaient bien se donner la main ! Depuis 2005, depuis que je suis présidente du Medef, toutes nos organisations travaillent d’arrachepied pour tenter de dépasser les conflits. »

Et la patronne des patrons de se lancer dans une défense et illustration du dialogue social, visant en priorité Pierre Gattaz, le favori dans la course à sa succession : « Je mets un peu de solennité parce que cet acte majeur pourrait être mis en danger, avertit-elle. A gauche, à droite, dans les syndicats et dans le patronat, certains disent qu’on n’aboutit à rien par le dialogue social.

Aujourd’hui, les organisations syndicales admettent que la culture entrepreneuriale est fondamentale. Et moi, de mon côté, je dis : vive la culture syndicale ! C’est un engagement fort qui va nous offrir les bons choix pour renouer avec la rentabilité.  »

A ses côtés, citant à plusieurs reprises l’accord de flexibilisation de l’emploi signé le 11 janvier dernier par tous les participants à la soirée, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, hausse les épaules quand l’animateur de la soirée évoque l’absence de la CGT et de FO. « Cela ne nous affaiblit pas, promet-il. C’est plus exigeant de s’engager que de faire du surplace. » « Il faut marcher ensemble, renchérit Joseph Thouvenel, vice-président de la CFTC. Nos intérêts communs sont bien plus larges que l’opposition systématique.  » Pour les trois syndicats, le document commun avec le patronat devra être « mis sur la table de la conférence sociale les 20 et 21 juin ». ■ par Thomas Lemahieu

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Papeterie de Malaucène : le combat continue

Posté par cgtchapelledarblayupm le 28 mai 2013

Papeterie de Malaucène : le combat continue dimanche 26 mai 2013

Bonjour,

Vous trouverez en pièces jointes la première revue de presse concernant le dossier des Papeteries de Malaucène ;

Afin que les choses soient bien claires, il nous apparaît nécessaire de souligner la légitimité de cette lutte qui depuis 4 ans secoue le paysage social, juridique et syndical de notre Département.

Les salariés ont été traités comme une variable d’ajustement par Schweitzer Mauduit, les 69 de la Machine à Papier sacrifiés les premiers dans le cadre d’un mensonge éhonté adressé aux Pouvoirs publics , aux Elus : ces postes sont supprimés pour que l’Entreprise soit préservée.

Deux semaines après l’arrêt de la Machine à Papier, le 17 avril 2009, les 211 autres salariés apprenaient la fermeture définitive de leur Usine. 211 sans oublier les intérimaires, les sous-traitants, et les conséquences sur le tissu économique de notre zone…

Les Papetiers l’ignoraient alors mais dés ce 17 avril 2009 au matin, ils allaient engager une lutte exemplaire avec la CGT, lutte qui est loin, très loin d’être terminée …

Le motif économique invoqué par les patrons de SWM n’a pas été reconnu par les Services de l’Etat, la Direction Départementale du Travail, ce même motif économique a été rejeté par le Conseil des Prud’hommes d’Orange en juillet 2012,

Ce Jugement a généré une condamnation de l’Entreprise à verser près de 2,5 millions d’euros à 120 salariés, ce pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.

SWM refuse de payer au motif que les papeteries de Malaucène étaient indépendantes, autonomes et ne faisaient pas partie du Groupe !

Les AGS ( Assurance de Garantie des Salaires ) refusent de payer au motif qu’elles pensent le contraire et que c’est à SWM de payer !!

Dans cette affaire, et même si en effet la CGT a toujours dit qu’il était anormal et injustifié que ce soit à la collectivité ( AGS ) de payer à la place de Schweitzer Mauduit, il n’en demeure pas moins que nous estimons avec les salariés que les AGS doivent faire l’avance et se retourner contre SWM.

En ce sens, les AGS nous ont rejoint afin de plaider la notion de co-emploi.

Nous en sommes donc là aujourd’hui… mais il est majeur que les choses soient claires : les salariés et la CGT n’ont jamais pensé que l’argent allaient remplacer la perte de centaines d’emplois… Bien au contraire et nous l’avons toujours dit, écrit et crié…

La fermeture des Papeteries de Malaucène, c’est aussi des hommes et des femmes qui ont souffert, souffrent encore,

Ce sont des hommes et des femmes qui ont vu leur vie basculer,

Ce sont des drames humains, des existences bouleversées avec des tensions, des maladies, des ruptures sociales, familiales, …

Ce sont aussi des difficultés quotidiennes à tenter de retrouver un emploi dans un contexte plus que compliqué, …

C’est aussi une vingtaine d’élus du Personnel ( Délégués du Personnel et Membres du Comité d’Entreprise ) qui se sont battus et se battent encore pour aider leurs collègues de travail, alors qu’ils ont subi une discrimination intolérable et inacceptable !!

Car nous devons le rappeler, si les salariés se battent pour obtenir un dédommagement légitime pour le préjudice subi,

Les salariés dits protégés se battent eux pour que les mesures du Plan de Sauvegarde de l’Emploi ( PSE ) leur soient intégralement payées ce qui n’est toujours pas le cas !!

Il FALLAIT QUE CE SOIT DIT, SWM est responsable de ce qui précède et de bien d’autres problèmes auxquels se heurtent les salariés, leurs familles, leur entourage.

Vous l’aurez compris, le préjudice subi, la violence de la stratégie de SWM, le mépris affiché par beaucoup vis-à-vis des salariés et de la cgt dans cette affaire,

Font que nous ne laisserons pas tomber, c’est une évidence mais aussi une certitude.

Merci à vous tous pour votre soutien,

Thierry GEORGES CGT Malaucène

La Provence

Vaucluse Matin

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Retraite : vers une réforme « impopulaire » mais « juste » ?

Posté par cgtchapelledarblayupm le 24 mai 2013

                            mais où va ce gouvernement élu                                  derrière une étiquette de gauche !   

Le député PS Michel Issindou, probable rapporteur du projet de loi prévu à l’automne, estime que la réforme des retraites sera « d’ampleur » avec des mesures de « justice sociale ». Mais il anticipe aussi des décisions « impopulaires » qui devraient susciter des tensions. 

Quelques précisions sur la future, nouvelle, réforme des retraites ? Le député PS Michel Issindou, probable rappoRetraite : vers une réforme « impopulaire » mais « juste » ? dans CGT UPM Chapelle Darblay ils-sont-fousrteur du projet de loi prévu à l’automne, a fait ce jeudi des déclarations devant plusieurs journalistes. «  C’est une réforme d’ampleur (…) Nous aurions tort de faire une réforme au rabais  », a-t-il dit, précisant que le gouvernement envisageait de déposer un projet de loi «  dans la deuxième quinzaine de septembre  », pour qu’il soit débattu au Parlement «  en septembre-octobre  ».

«  Il y aura des tensions, je pense que ce sera dur, il y aura des mouvements dans la rue, mais par rapport à 2010 (précédente réforme des retraites), l’opinion publique est plus prête à entendre les choses  », selon lui. «  De toute façon, nous allons être impopulaires avec cette réforme, et tant qu’à l’être, autant faire des choses utiles pour l’avenir (…), qu’au moins nous allions au fond des choses  », a-t-il ajouté.

Durée de cotisation allongée, rapprochement public-privé Ainsi, «  nous n’échapperons pas à un allongement de la durée de cotisation, car c’est la mesure qui produit le plus d’effets à terme  », a souligné le député de l’Isère. Mais «  en maintenant l’âge légal (de départ) à 62 ans, nous laissons une porte de sortie  », a-t-il précisé.

Par ailleurs, «  il y a un autre sujet qui fera débat, c’est celui du rapprochement public-privé  » : «  il faut crever l’abcès et nous ne réussirons pas si nous ne passons pas par cette phase-là  », a-t-il affirmé.

Faire contribuer les retraités ? «  Je pense qu’il faudra faire attention aux petites retraites, ne pas demander d’efforts supplémentaires à ceux qui sont, peut-être, en deçà de 1.500 euros  », a-t-il dit.

Mesures pour les femmes, la pénibilité La réforme comportera donc «  des mesures désagréables  », afin de combler le déficit de 20 milliards d’euros prévus en 2020, mais aussi des «  mesures de justice sociale  ». «  S’il y a des mesures très positives, sur les femmes par exemple, personne ne pourra s’opposer à cela  », juge-t-il. Les métiers difficiles seront aussi pris en compte : «  Quelqu’un qui a fait 10 ans à la chaîne, on peut espérer qu’il ne fera pas 40 ans  ». Pour autant, «  il faut des critères hyper simples  » pour définir la pénibilité, selon lui.

Tout dépendra également du «  rapport de forces  » qui sera établi entre le gouvernement et les partenaires sociaux, lors de la concertation qui débutera les 20 et 21 juin avec la conférence sociale, et devrait s’achever à la fin de l’été. Début juin, la commission sur l’avenir des retraites doit rendre son rapport qui contiendra «  les éléments de la réforme  », a estimé le député.

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Situation tendue à la papeterie Europac.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 24 mai 2013

Saint Etienne du Rouvray : les salariés dénoncent un recul social

Situation tendue à la papeterie Europac. 

les salariés d’ Europac, réunis mardi en assemblée générale, ont clairement dit NON aux propositions de la direction. 

sous tension depuis l’annonce à la mi mars d’un projet de réduction des coûts et de délocalisation de certains services de Saint Étienne du Rouvray au Portugal, les salariés sont prêts à durcir de ton.

« le climat est très chaud »Situation tendue à la papeterie Europac.  dans CGT UPM Chapelle Darblay europac-150x84

André Pierre Terrier, responsable Filpac Cgt et secrétaire du comité d’établissement, estime que le climat est très chaud.

le personnel a refusé en bloc les propositions de la direction qui prévoit notamment que les futurs embauchés le seraient avec un salaire inférieur de 50% par rapport à ce qui se pratique.

Résultat : la rencontre qui était prévue avec la direction mercredi 22 mai a été reportée à une date non précisée. « Nous avons demandé des informations complémentaires qui manquent à l’expert comptable » ajoute le secrétaire du CE.

un comité d’établissement ordinaire est toutefois fixé la semaine prochaine. le mardi 28 mai. en attendant les salariés étudient une riposte qui pourrait aller jusqu’à des arrêts de travail. 

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7 jours FILPAC.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 23 mai 2013

L’ordre du jour de la « Conférence sociale » se décide le 22 mai lors d’une « Conférence de

7 jours FILPAC. dans CGT UPM Chapelle Darblay 7-jours méthode ». Le président et le Medef attendent les retraites et les retraités au coin du bois. Pour nous ce n’est pas du tout la priorité ! En finir avec l’austérité, relancer le pouvoir d’achat et l’emploi, voilà notre rendez-vous ! Cette conférence ne sera « sociale » qu’à ces conditions.

 

« Conférence sociale » 20-21 juin

Faire les poches aux retraités ou En finir avec l’austérité ?

 

Le rendez-vous national des 20 et 21 juin sera « social » si l’occasion est saisie d’en finir avec l’austérité.

Ce qui semble arrangé à l’avance, c’est faire les poches aux retraités et continuer de torturer le système social des retraites. Hollande l’a annoncé… à Bruxelles. Ce n’est pas la priorité !

S’il manque de l’argent dans les caisses de la Sécurité sociale, que le gouvernement accorde un crédit à valoir sur les 1000 milliards de l’évasion fiscale, qu’il ne manquera pas de récupérer. Il a bien donné sans contrepartie 20 milliards de crédits d’impôts aux employeurs.

 La priorité ? C’est sortir de l’échec de l’austérité qui conduit à la récession actuelle.

Ce qu’il doit y avoir à l’ordre du jour de la « Conférence sociale » ?

  • Une augmentation immédiate et significative du pouvoir d’achat pour relancer la demande intérieure, donc la consommation.

L’argent ? A prélever sur les transactions financières et les capitaux spéculatifs, à récupérer sur la part de la richesse créée dans les entreprises, qui aujourd’hui s’envole vers les actionnaires, c’est-à-dire les rentiers.

  • Une création massive d’emplois pour les jeunes, dont un sur quatre aujourd’hui n’a accès à rien ! Le temps de travail réduit, le droit de licencier fortement limité, voilà les gisements d’emplois.

L’argent ? Orienter la puissance financière aujourd’hui détournée à des opérations privées et spéculatives vers l’activité utile, construction de logements, d’équipements collectifs, de santé, d’éducation, etc. Les besoins non satisfaits ne manquent pas.

 Chat échaudé…

La 1re conférence sociale de juillet 2012 accouche d’une loi désastreuse pour l’intérêt des salariés, mais conforme à l’austérité européenne : une généralisation de l’inégalité devant la protection sociale complémentaire, un droit du licenciement renforcé pour l’employeur au détriment du droit du contrat de travail au nom de la flexibilité, une flexibilité qui s’étend au salaire et au temps de travail.

La 2e conférence de juin 2013 méritera de s’appeler « sociale » si nous parvenons à imposer la sortie de l’austérité. Sinon, le système de l’accord Medef-syndicats minoritaires nous coûtera encore plus cher.

 Rien n’est joué ! Le printemps social ce peut être pour cet été !

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Stora Enso à Corbehem : le groupe finlandais est «marqué à la culotte» par le comité de suivi

Posté par cgtchapelledarblayupm le 22 mai 2013

Stora Enso à Corbehem : le groupe finlandais est «marqué à la culotte» par le comité de suivi dans CGT UPM Chapelle Darblay logo-stora-enso-150x56

Stora Enso à Corbehem : le groupe finlandais est 

                             «marqué à la culotte» par le comité de suivi

 Une réunion s’est tenue hier, en fin de matinée, à la préfecture, au sujet de l’entreprise Stora Enso de Corbehem. Les 350 salariés sont dans l’expectative depuis l’automne. Le groupe envisagerait de vendre sa dernière machine. Trois repreneurs potentiels ont été identifiés. Le dossier est suivi de près par le comité de pilotage composé de l’intersyndicale, des élus, de la chambre de commerce et d’industrie, des représentants de l’État.

Au sortir de la réunion, Christophe Sauvage, au nom de l’intersyndicale, exprimait sa satisfaction de voir tous les acteurs mobilisés autour de ce dossier. « On a décidé d’entrer en contact avec le groupe finlandais pour se mettre d’accord sur d’éventuels projets de reprise. Le site a des atouts. Le préfet est en contact avec le cabinet mandaté par le groupe. » « Ils sont marqués à la culotte », ajoutait Pierre Georget, président de la communauté de communes Osartis. « On est dans l’expectative, mais on reste vigilants. »stora-300x163 dans CGT UPM Chapelle Darblay

Bertrand Pericaud, président de la commission développement économique au conseil régional, exposait l’ambiguïté de la situation : « Stora veut vendre parce qu’il est en surcapacité de production, un repreneur sur le même créneau, ça peut sembler contradictoire. Nous voulons avoir des éléments sur la qualité des repreneurs. On a tout intérêt à ce que ce soit une reprise sérieuse. » Bertrand Pericaud a été mandaté par le préfet pour demander à Pierre de Saintignon (le premier vice-président du conseil régional, chargé du développement économique, viendra à Osartis le 25 juin) d’intervenir auprès de l’ambassadeur de France à Helsinki. « Les repreneurs sont intéressés par une activité papier et une reprise globale du site. » « On va prendre contact avec M. Munoz, représentant de la société Stora à Paris. La direction de Stora Corbehem dit ne rien savoir, alors on va chercher l’info ailleurs. Multiplication, diversité de l’activité, station d’épuration, lignes haute tension : on peut faire des quantités de choses sur le site de Corbehem ! On va continuer à marteler », ajoutait le conseiller général Martial Stienne.

Pierre Georget a rappelé que les Finlandais avaient du mal à concevoir qu’en France, les politiques s’occupent de l’économie. « La compétence économique est obligatoire pour une communauté de communes ; si on n’accompagne pas la reconquête de l’emploi, à quoi servons-nous ? » Il a rappelé l’épisode du projet de production de sacs de caisse à base de chanvre, qui avait été tué dans l’œuf par les actionnaires. « Le projet est parti ailleurs, peut-être même en Europe du Nord. C’est pourquoi nous accueillons avec une certaine frilosité leurs déclarations. Il vaudrait mieux un repreneur, mais nous nous montrons vigilants. Stora a la main mise sur la matière première. Nous, on a mis en place le fret ferroviaire : Stora n’a pas d’excuse auprès d’un repreneur. L’acheminement des matières premières est possible. »

Bertrand Pericaud de conclure : « L’entreprise a deux atouts : sa machine, qui est unique, et le savoir-faire. Nous, élus régionaux et d’Osartis, sommes en mesure d’accompagner les projets d’amélioration de l’activité et de diversification. Il faut que ce soit pris en compte par les repreneurs, pour qu’ils sachent qu’ils peuvent rester et se développer ici.

 

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Christine Boutin : « Il y a des lois supérieures à la loi de la République

Posté par cgtchapelledarblayupm le 22 mai 2013

Christine Boutin : « Il y a des lois supérieures à la loi de la République, celles du Dieu catholique, apostolique et romain »

Christine Boutin, représentante officielle de l’Opus Dei en France, était l’invitée, dimanche 19 mai, de l’émission « Internationales », diffusée sur TV5-Monde et RFI en partenariat avec Le Monde. Elle explique notamment les raisons de son refus de célébrer un mariage homosexuel.

« Il y a des lois supérieures à la loi »

Visitée il y a peu par un ange annonciateur de la fin de la République, Christine Boutin assure que si elle était élue au suffrage universel, elle s’assoierait sur ce procédé diabolique et refuserait de célébrer un mariage entre personnes du même sexe. « J’estime que cette loi [instaurant le mariage pour tous] viole la conscience et qu’il y a des lois supérieures à la loi [de la République]« . Mme Boutin a assuré : « Il y a une loi morale supérieure à la loi de la République, c’est l’Oeuvre de Dieu qui me motive et rien d’autre. »

« Le mariage gay révèle une société libertaire, aux mains de Lucifer »Christine Boutin :

« Ce mariage gay est le révélateur de cette société que nous avons construite, une société libérale-libertaire, une Sodome que Dieu balaiera le jour du jugement final », a expliqué Christine Boutin. Elle s’est dite persuadée que la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA) viendront prochainement s’inscrire dans la loi, et qu’ainsi l’agence de notation divine enverra en enfer cette démocratie républicaine.

« Je ne suis pas homophobe »

Dotée d’un sens de l’humour propre aux intégristes de l’Opus Dei, accusée d’homophobie, Christine Boutin a répondu : « Je ne suis pas une homophobe. [...] Je suis sur le mur des homophobes comme l’Iranien. Je pourrais presque poursuivre pour diffamation ». La loi sur la diffamation est en effet décrétée conforme aux évangiles et à la parole de notre seigneur… Elle fait référence au mur des homophobes présenté le 17 mai par Act Up-Paris à l’occasion de la journée internationale contre l’homophobie, qui affiche certaines personnalités, dont Christine Boutin et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

Manifestation aux côtés du député d’extrême droite Collard : « Les autres parlementaires m’ont poussée »

Interrogée sur sa présence aux côtés du député d’extrême droite, Gilbert Collard, lors de la manifestation contre le mariage pour tous, dimanche 21 avril, Christine Boutin a assuré qu’elle s’était retrouvée à défiler près de lui de manière involontaire : « Figurez-vous que les autres parlementaires m’ont poussée, et moi je me suis trouvé là ! » Avant de défendre sa présence aux côtés de M. Collard, en faisant valoir qu’ »il a été élu député selon les lois de la République ». « Depuis quinze ans, je demande la dissolution du Front national, (…) je combats les idées qui sont aux antipodes de ce que je porte », a-t-elle ajouté.

Pour se punir, elle finit son émission par deux Ave Maria, et trois Pater Noster, avant de se rendre d’urgence au pied de Sainte-Bernadette de Lourdes, menacée par les eaux en crue.

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