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Mais que fait la police !!!

Posté par cgtchapelledarblayupm le 30 novembre 2013

Mais que fait la police !!!

Paris est bloqué par les patrons routiers et personne ne fait rien, nous sommes pris en otages par les patrons qui cassent les outils publics payés par nos impôts et personne ne fait rien au gouvernement.

Quand ce sont les salariés qui font grève avec leur syndicat CGT,  pour de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail et de vie, on envoie les flics et on décide des reformes du style du service minimum???  

Cherchez l’erreur, on nous prend vraiment pour des c…      

Indignez-vous !!!

 

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Docelles : au bord du gouffre

Posté par cgtchapelledarblayupm le 29 novembre 2013

Docelles : au bord du gouffre

Quelque 150 personnes ont manifesté hier matin devant la préfecture d’Epinal à l’appel de la CGT, afin de réclamer un plan de reprise de la papeterie de Docelles, dont la maison-mère, le groupe finlandais UPM, a annoncé en début d’année vouloir se séparer.

« Nous exigeons du groupe UPM, responsable de cette situation intolérable pour les salariés, qui dure depuis presque un an, de mettre tout en œuvre pour que la reprise du site soit effective et que nos emplois soient maintenus », a déclaré le secrétaire général de la CGT Vosges, Denis Schnabel.docelles

Les salariés avaient bloqué l’usine pendant plusieurs jours, avant de reprendre le travail le 21 novembre. Un comité central d’entreprise extraordinaire doit avoir lieu lundi, avant une réunion en préfecture mercredi.

L’industriel scandinave avait annoncé en janvier vouloir vendre ses usines de Docelles et Aigrefeuille (Charente-Maritime), alors qu’il était déjà en train de fermer son usine papetière Stracel de Strasbourg.

« La CGT rappelle que le groupe UPM, dans le cas d’une décision contraire aux intérêts des salariés et de l’emploi, devra répondre de ses choix. Auquel cas, nous invitons tous les salariés de l’entreprise à se mobiliser et à intervenir, y compris à Helsinki au siège du groupe, pour se faire entendre et dénoncer leur stratégie industrielle », a ajouté M. Schnabel.

Les origines des Papeteries de Docelles, dans la vallée de la Vologne, remontent à 1478. Présentée sur le site du groupe comme une unité « moderne et flexible », cette usine affiche une capacité de production annuelle de 160 000 tonnes.

UPM-Kymmene, leader mondial du papier pour magazines, a annoncé fin octobre une très forte hausse de son bénéfice net au troisième trimestre, imputée au succès de ses plans de restructuration.

Docelles : les salariés de la papeterie réclament un plan de reprise

A l’appel de la CGT, 150 personnes ont manifesté jeudi 28 novembre 2013 devant la préfecture d’Epinal pour réclamer un plan de reprise de la papeterie de Docelles. La maison-mère, le groupe finlandais UPM, a annoncé en début d’année vouloir s’en séparer.

Plan de reprise

La CGT demande au groupe UPM, responsable selon elle de cette situation intolérable qui dure depuis presque un an, de mettre tout en oeuvre pour que la reprise du site soit effective et que les emplois soient maintenus.

Les salariés avaient bloqué l’usine pendant plusieurs jours, avant de reprendre le travail le 21 novembre dernier.

Un comité central d’entreprise extraordinaire doit avoir lieu lundi, avant une réunion en préfecture mercredi.

L’industriel scandinave avait annoncé en début d’année vouloir vendre ses usines de Docelles et Aigrefeuille, en Charente-Maritime, alors qu’il était déjà en train de fermer son usine papetière Stracel de Strasbourg.

UPM avait indiqué que le processus de vente de la papeterie de Docelles devait aboutir dans les six mois. Sinon le groupe « en sortira par un autre moyen », avait ajouté l’industriel, semblant faire allusion à une fermeture pure et simple. Fin octobre, le groupe finlandais avait précisé que le processus de vente « continuait », sans autre précision.

Le secrétaire général de la CGT Vosges, Denis Schnabel rappelle que le groupe UPM, dans le cas d’une décision contraire aux intérêts des salariés et de l’emploi, devra répondre de ces choix. Il ajoute : auquel cas, nous invitons tous les salariés de l’entreprise à se mobiliser et à intervenir, y compris à Helsinki au siège du groupe, pour se faire entendre et dénoncer leur stratégie industrielle.

Unité moderne

Présentée sur le site du groupe comme une unité « moderne et flexible », les Papeteries de Docelles affichent une capacité de production annuelle de 160.000 tonnes. UPM-Kymmene, leader mondial du papier pour magazines, a annoncé fin octobre une très forte hausse de son bénéfice net au troisième trimestre, imputée au succès de ses plans de restructuration.

Le groupe a presque quadruplé (+283%) son bénéfice net, de 138 millions d’euros. Son chiffre d’affaires a pourtant reculé de 5% à 2,472 milliards d’euros.

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Papeteries Docelles, le Groupe UPM Responsable !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 27 novembre 2013

                   ud 1

       Confédération Générale du Travail          

UNION DEPARTEMENTALE DES VOSGES

 Epinal, le 27 novembre 2013,

 

                           Communiqué de presse de l’Union Départementale CGT des Vosges

Papeteries Docelles, le  Groupe UPM Responsable !

 Le 27 novembre 2013, les salaires de la papeterie de Docelles sont toujours dans l’attente de la décision du groupe Papetier Finlandais UPM pour la reprise du site par Canopé Industrie.

La CGT des Vosges, la FILPAC et ses syndicats rappellent leurs déterminations et leurs  engagements derrière les salariés pour que ce site historique de notre patrimoine industriel vive.

Nous exigeons du groupe UPM, responsable de cette situation intolérable pour les salariés, qui dure depuis presque un an, de mettre tout en œuvre pour que la reprise du site soit effective et que nos emplois soient maintenus.

Aujourd’hui, UPM doit répondre à la demande expresse de la CGT, majoritaire au niveau du groupe,  d’organiser un CCE extraordinaire, avant la fin de la semaine.

La CGT rappelle que le groupe UPM, dans le cas d’une décision contraire aux intérêts des salariés et de l’emploi, devra répondre de ces choix.

Auquel cas, nous invitons tous les salariés de l’entreprise à se mobiliser et à intervenir, y compris à Helsinki au siège du groupe, pour se faire entendre et dénoncer leur stratégie industrielle.

La CGT mettra tout en œuvre pour maintenir ce site et obtenir réparation de ce qui apparaitrait comme un véritable désastre économique et social.

 Pour L’UD CGT Vosges           le secrétaire Général        Denis Schnabel

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Le régime fiscal des indemnités de rupture

Posté par cgtchapelledarblayupm le 27 novembre 2013

Le régime fiscal des indemnités de rupture – Sommes perçues en fin de contrat de travail

samedi 23 novembre 2013

Le régime fiscal des indemnités de rupture dans CGT UPM Chapelle Darblay image-b2243

png_dessin398_titom_flexicurite_licenciement-bc604 dans CGT UPM Chapelle Darblay

Alors que le régime social des indemnités de rupture du contrat de travail est régulièrement modifié, notamment en dernier lieu par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2012, le régime fiscal de ces mêmes indemnités connaît une relative stabilité.

Toutefois, fin septembre 2013, le Conseil constitutionnel a déclaré conforme à la Constitution l’article 80 duodecies du CGI qui règle la matière, avec une réserve d’interprétation.

Et fin octobre, l’administration fiscale a précisé sa doctrine concernant l’assujettissement ou non à l’impôt des indemnités de rupture.

En l’état actuel du droit, le régime fiscal et social des indemnités de rupture est dissocié.

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Les indemnités de licenciement sont exonérées de cotisations et contributions sociales dans la limite d’un plafond égal à deux fois le plafond annuel de la sécurité sociale (PASS).

Toutefois, si les indemnités dépassent dix PASS, elles sont assujetties en totalité aux cotisations et contributions sociales dès le premier euro. Sur le régime social des indemnités de rupture issu de la LFSS pour 2012.

Quant au régime de taxation à l’impôt sur le revenu des indemnités de rupture du contrat de travail, il est défini à l’article 80 duodecies du Code général des impôts.

1 Les indemnités sont en principe imposables

L’article 80 duodecies du Code général des impôts (CGI) pose le principe de l’assujettissement à l’impôt sur le revenu de toutes les indemnités versées au salarié « à l’occasion de la rupture de son contrat de travail ».

Le mode de rupture du contrat de travail est indifférent, qu’il s’agisse d’une démission, d’un licenciement, d’un départ ou une mise à la retraite, du terme d’un contrat à durée déterminée, d’une rupture négociée ou amiable du contrat de travail.

Sont ainsi assujetties à l’impôt sur le revenu, les indemnités qui, par nature, constituent des éléments de salaires, notamment :

– les indemnités compensatrices de congés payés ;

– l’indemnité compensatrice de préavis ;

– l’indemnité de fin de CDD ou de fin de mission des intérimaires ;

– l’indemnité de non-concurrence, etc.

Toutefois, ce principe général est assorti d’exceptions énumérées par le 1 de l’article 80 duodecies tenant, soit à la nature de l’indemnité, soit à son montant.

2 Exceptions au principe d’imposition

LES INDEMNITÉS VERSÉES HORS PLAN SOCIAL

Les indemnités versées en cas de licenciement abusif ou irrégulier

L’article 80 duodecies du CGI exonère totalement de l’impôt sur le revenu les indemnités visées à l’article L. 1235-1, L. 1235-2, L. 1235-3, L. 1235-11 à L. 1235-13 du Code du travail, c’est-à-dire les indemnités versées à titre de dommages et intérêts aux salariés qui justifient d’une ancienneté minimum de deux ans dans une entreprise occupant habituellement au moins 11 salariés et qui sanctionnent :

– le licenciement irrégulier (pour méconnaissance de la procédure) (C. trav., art. L. 1235-2) ;

– le licenciement sans cause réelle et sérieuse(C. trav., art. L. 1235-3) ;

– le licenciement intervenu alors que la procédure de licenciement est nulle(C. trav., art. L. 1235-11 à 13).

L’administration fiscale admet que l’indemnité versée à titre de dommages et intérêts à des salariés justifiant d’une ancienneté de moins de deux ans et/ou dont l’entreprise emploie moins de 11 salariés soit également non imposable, bien qu’elle ne soit pas visée expressément par l’article 80 duodecies du CGI.

Concernant les indemnités de rupture anticipée d’un CDD, la doctrine administrative précise que le montant minimum de l’indemnité versée (correspondant aux rémunérations qu’auraient perçues le salarié jusqu’au terme de son contrat) est imposable.

L’excédent éventuel est quant à lui exonéré dans les conditions et limites prévues pour les « autres indemnités de licenciement » (v. ci-dessous).

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Les autres indemnités de licenciement

Les autres indemnités de licenciement versées en dehors d’un plan de sauvegarde pour l’emploi sont exonérées partiellement d’impôt sur le revenu (en application de l’article 80 duodecies, 1-3°).

Elles sont exonérées dans la limite la plus élevée des trois montants suivants :

– soit le montant de l’indemnité prévue par la convention collective de branche, l’accord professionnel ou interprofessionnel ou, à défaut par la loi ;

– soit le double de la rémunération annuelle brute perçue par le salarié au cours de l’année civile précédant celle de la rupture de son contrat de travail ;

– soit la moitié du montant total des indemnités de licenciement perçues.

Dans les deux derniers cas, la fraction des indemnités exonérée ne peut dépasser la limite de six fois le plafond annuel de la sécurité sociale en vigueur au moment du versement de l’indemnité (222 192 € pour 2013 et 225 288 € pour 2014).

Exemple : un salarié, dont la rémunération annuelle brute de l’année civile précédente s’établit à 50 000 €, a perçu une indemnité de 150 000 €, dont 120 000 € correspondent à l’indemnité prévue par la convention collective.

L’indemnité conventionnelle (120 000 €) est plus élevée que le double de la rémunération annuelle (100 000 €) et que la moitié du montant total des indemnités (75 000 €). Le montant de 120 000 € est donc exonéré d’impôt sur le revenu. Le surplus de 30 000 € sera assujetti à l’impôt sur le revenu selon les règles applicables aux traitements et salaires.

À NOTER

Le plafond de la sécurité sociale applicable aux indemnités perçues en 2013 s’établit à 37 032 € et celui applicable aux indemnités perçues en 2014 s’établiera à 37 548 €.

Les indemnités transactionnelles

Par analogie, l’administration fiscale admet que bien qu’elle ne soit pas énumérée par l’article 80 duodecies, l’indemnité transactionnelle (versée en exécution d’une transaction conclue entre l’employeur et le salarié suite à une prise d’acte de la rupture du contrat de travail) soit assimilée à une « autre indemnité de licenciement ». Elle serait donc assujettie à l’impôt sur le revenu au-delà des limites d’exonération détaillées ci-dessus.

À NOTER

De jurisprudence constante, le Conseil d’État estime qu’à l’exception des indemnités limitativement énumérées par l’article 80 duodecies, toute indemnité perçue à l’occasion de la rupture du contrat de travail revêt un caractère imposable.

Cette interprétation conduit à ce qu’une indemnité transactionnelle, notamment suite à une prise d’acte par le salarié, ne soit ni une indemnité de licenciement, ni une indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, et soit donc totalement soumise à l’impôt.

Toutefois, le Conseil constitutionnel, dans sa décision n° 2013-340 QPC du 20 septembre 2013, a jugé qu’il appartenait à l’administration de rechercher la qualification à donner aux sommes en jeu.

Si l’indemnité transactionnellle a la nature d’une indemnité de licenciement, elle devrait partiellement être exonérée d’impôt sur le revenu. Si l’indemnité est versée à titre de dommages et intérêts, elle devrait être totalement exonérée.

Les indemnités liées à la rupture conventionnelle du contrat de travail

En vertu de l’article 80 duodecies du CGI (6° du 1), sont exonérées partiellement d’impôt sur le revenu les indemnités de rupture versées à l’occasion de la rupture conventionnelle du contrat de travail d’un salarié dès lors qu’il n’est pas en droit de bénéficier d’une pension de retraite d’un régime légalement obligatoire.

Dans ces cas, les indemnités sont exonérées dans la limite du plus élevé des montants suivants :

– le montant de l’indemnité prévue par la convention collective de branche, l’accord professionnel ou interprofessionnel ou, à défaut par la loi ;

– le double de la rémunération annuelle brute perçue par le salarié au cours de l’année civile précédant celle de la rupture de son contrat de travail ;

– la moitié du montant total des indemnités de licenciement perçues.

Dans les deux derniers cas, la fraction des indemnités exonérée ne peut dépasser la limite de six fois le plafond annuel de la sécurité sociale en vigueur au moment du versement de l’indemnité (222 192 € pour 2013 et 225 288 € pour 2014).

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Les indemnités de mise à la retraite

Les indemnités de mise à la retraite par l’employeur sont également partiellement exonérées d’impôt sur le revenu, dans la limite la plus élevée des trois montants suivants (en application de l’article 80 duodecies, 1-4°) :

– soit le montant de l’indemnité de mise à la retraite prévue par la convention collective de branche, l’accord professionnel ou interprofessionnel ou, à défaut par la loi ;

– soit le double de la rémunération annuelle brute perçue par le salarié au cours de l’année civile précédant celle de la rupture de son contrat de travail ;

– soit la moitié du montant total des indemnités perçues.

Dans ces deux derniers cas, la fraction exonérée ne peut dépasser cinq fois le plafond annuel de la sécurité sociale en vigueur au moment du versement de l’indemnité de mise à la retraite (185 160 € pour 2013 et 187 740 € pour 2014).

À NOTER

L’indemnité de cessation d’activité et l’indemnité complémentaire versées dans le cadre de la préretraite amiante sont totalement exonérées d’impôt sur le revenu (CGI, art. 81, 32 °).

Les indemnités de départ à la retraite

S’agissant des indemnités versées aux salariés qui prennent l’initiative de leur départ en retraite, elles sont imposables en totalité (sauf cas particulier du départ volontaire qui s’inscrit dans le cadre d’un PSE ; v. ci-après).

LES INDEMNITÉS VERSÉES DANS LE CADRE D’UN PSE

Aux termes de l’article 81 duodecies (1,2°), ne constitue pas une rémunération imposable l’indemnité de licenciement ou de départ volontaire versée dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

L’administration fiscale indique que sont concernés les licenciements pour motif économique, envisagés pour une raison étrangère à la personne des salariés concernés, et portant sur dix salariés au moins pendant une période de 30 jours.

L’ensemble des indemnités versées à l’occasion du licenciement ou du départ volontaire est donc exonéré.

Sont donc exonérées d’impôt sur le revenu, détaille l’administration fiscale, les indemnités dues aux salariés concernés aux termes des dispositions légales ou conventionnelles qui, selon le mode de rupture de leur contrat de travail, leur sont applicables, mais également, quelle que soit leur appellation, celles qui s’y ajoutent : primes ou indemnités d’aide au départ volontaire, d’aide à la réinsertion professionnelle, d’incitation au reclassement, etc.

Toutefois restent imposables les indemnités qui sont par nature des éléments de salaire (indemnités compensatrices de congés payés et de préavis, notamment).

Enfin, les indemnités de licenciement et de départ volontaire versées dans le cadre d’un PSE étant les seules mentionnées dans l’article 80 duodecies du CGI (1-2°), les indemnités versées à l’occasion d’une mise à la retraite par l’employeur du salarié font l’objet d’un traitement particulier.

Elles sont partiellement exonérées d’impôt, dans les conditions détaillées ci-dessus.

LES INDEMNITÉS VERSÉES AUX MANDATAIRES SOCIAUX

Toute indemnité, quelle que soit sa nature, versée à l’occasion de la cessation des fonctions de mandataires sociaux et de dirigeants de société constitue une rémunération imposable(CGI, art. 80 duodecies, 2).

Toutefois, en cas de cessation forcée des fonctions (révocation, par exemple), seule la fraction des indemnités qui excède les seuils définis aux 3 ° et 4 ° de l’article 80 duodecies est imposable.

Ainsi les indemnités versées au titre de la rupture du mandat social ou du contrat de travail sont exonérées dans la limite la plus élevée de :

– deux fois la rémunération annuelle brute perçue au cours de l’année civile précédant la cessation forcée des fonctions ;

– 50 % du montant des indemnités perçues.

En tout état de cause, la fraction exonérée ne peut excéder un plafond égal en principe, à six fois le montant annuel du plafond de la sécurité sociale en vigueur à la date du versement des indemnités (soit 222 192 € pour 2013 et 225 288 € pour 2014). S’il s’agit d’une mise à la retraite, le plafond ne peut excéder cinq fois le montant du PASS (soit 185 160 € pour 2013 et 187 740 € pour 2014).

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Front Syndical : FO refuse de jouer collectif.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 25 novembre 2013

FRONT SYNDICAL : MAILLY REFUSE DE JOUER COLLECTIF

vendredi 22 novembre 2013

Le secrétaire général de Force Ouvrière, Jean-Claude Mailly, a refusé l’appel de la CFDT et de la CGT à constituer un front syndical uni. Un accord aurait constitué une première depuis l’élection de François Hollande.

Laurent Berger (CFDT) et Thierry Lepaon (CGT) défileront ensemble samedi mais Jean-Claude Mailly (FO) ne se rejoindra pas à eux. Le secrétaire général de Force Ouvrière a en effet refusé vendredi sur RTL l’appel de ces deux organisations à constituer un front syndical uni. Ce qui aurait constitué une première depuis l’élection de François Hollande. «  Je n’aime pas répondre aux convocations  » et «  je ne crois pas aux choses artificielles  », a déclaré Jean-Claude Mailly. Laurent Berger et Thierry Lepaon, avaient invité l’ensemble des syndicats à se réunir le 25 novembre au siège de la CFDT pour évoquer «  la gravité de la situation  » dans le pays, dans un courrier révélé jeudi . Dans ce courrier, ils s’alarment de la «  situation politique, économique et sociale [qui] provoque des difficultés et une inquiétude grandissante chez les salariés, notamment en matière d’emploi et de pouvoir d’achat  » et du fait que «  la société en proie au désarroi peut se laisser entraîner par l’expression des pires populismes  ». Ils invitent leurs homologues «  échanger sur les moyens [de] remédier  » à la «  gravité de la situation  ». Après des mois de brouille alimentée par l’accord sur la sécurisation de l’emploi, puis la réforme des retraites, la CGT et la CFDT se sont réconciliées avec, en toile de fond, la révolte des bonnets rouge en Bretagne . Un mouvement qui leur a donné , l’occasion de mesurer les risques que ce type de contestation «  spontanées  » pour les organisations syndicales classiques. Force ouvrière décidé d’organiser, seule, un «  grand meeting national  » centré sur l’actualité économique et sociale le 29 janvier 2014 à Paris.

Jean-Michel Gradt, Les Echos, 22/11/2013

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mon salaire, c’est capital.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 25 novembre 2013

mon salaire pour vivre, c’est capital.

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Refusez la contre-réforme sur les retraites.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 25 novembre 2013

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Les UD de Seine Maritime CGT, FO, FSU, Solidaires
refusent la contre-réforme sur les retraites.

Aucun allongement de durée de cotisation !

Après un «vote étriqué» par une courte majorité des parlementaires, le Sénat a rejeté à l’unanimité le projet gouvernemental sur la retraite. Cet événement rarissime démontre la fragilité des arguments de ceux qui portent ce projet injuste, cela conforte les salariés et l’opinion publique qui refusent cette contre-réforme. En effet, ce projet inacceptable s’inscrit dans le prolongement des réformes précédentes et conduirait à un appauvrissement des futurs retraités, (notamment les femmes), et interdirait l’accès au système de retraite pour les jeunes !

La retraite à 60 ans, les départs anticipés pour travaux pénibles tels que cela existe dans de nombreux statuts et Conventions Collectives : voilà des propositions qui vont dans le bon sens !

Le financement des retraites nécessite de construire des alternatives par l’apport de ressources nouvelles, tout particulièrement en améliorant le pouvoir d’achat des salariés et en créant des emplois. Il est urgent d’augmenter l’ensemble des salaires, du privé comme du public, ce qui impose d’en finir avec le gel du point d’indice et de revaloriser l’ensemble des salaires.

Pour changer de cap et faire face à la situation :

- Il faut rompre avec les politiques d’austérité imposées par l’Union Européenne (qui reconnait aujourd’hui son inefficacité), la Banque Centrale Européenne, et le FMI, déclinées dans le Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance, (TSCG), et s’attaquer au coût du capital.

- Il faut rompre avec ces politiques et ne pas s’entêter, comme le fait le gouvernement, à passer en force une contre-réforme qui remet en cause notre système de retraite par répartition.

Le texte est revenu à l’Assemblée Nationale depuis le 19 Novembre, il sera soumis à un vote le

26 Novembre ! Ensuite le projet repartira au Sénat.

Dans ces conditions, la mobilisation reste à l’ordre du jour.

Les parlementaires doivent entendre les salariés !

Pendant que les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires Ile de France, appellent à manifester en direction de l’Assemblée Nationale à Paris, dans toute la France, dans la continuité des actions unitaires des 10 Septembre et 15 Octobre, des initiatives dans les départements sont prévues.

En SEINE MARITIME, nous vous invitons à participer aux rassemblements.

MARDI 26 Novembre    Rassemblements ~

Rouen, 11h30 devant la Préfecture

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Négociation service Production.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 24 novembre 2013

Négociation service Production, le 21 novembre 2013.

 Fin des négociations ? Le bout du chemin…

 La réunion commence par une présentation des avancées dans tous les services et l’annonce des ultimes propositions. Ce qui, pour nous, laisse présager des négociations difficiles pour la Production. Reste-t-il quelque chose à distribuer pour améliorer le sort des salariés du service ?

 Après plusieurs heures d’âpres discussions et même si toutes nos revendications  n’aboutissent pas, la Direction accepte de revoir la constitution de l’équipe polyvalente en profondeur en rajoutant 2 postes et en redéfinissant l’ensemble de ces postes. Elle confirme le nombre des remplaçants de ligne qui passe de 6 à 7 par équipe.

 Constitution d’une équipe polyvalente composée de 13 personnes pour pallier aux différentes absences et tâches diverses déjà détaillées auparavant, plus 2 personnes, le coordinateur et l’assistante administrative de production.

 2 postes resteront à la journée toute l’année, le poste labo et le poste produits chimiques.

 4 postes seront à la journée, en soutien aux 3 responsables de prod ; ils passeront en quart pendant les 7×2 et si absentéisme trop important.

 7 postes pour les remplacements en bout de filière, tenus par des volontaires et derniers embauchés.

 La Direction procéderait à la suppression d’un de ces postes après investissement sur les Bobineuses PM3 et sur les installations d’évacuation des déchets DIP3 (DTR).

 Concernant les bobineuses, la Direction veut passer à 4 bobineurs sur certaines laizes et diamètres et entend la CGT sur le renfort nécessaire lors des petits diamètres destinés à la grande exportation.

 Les remplacements se feront par la filière habituelle, les polyvalents prenant le poste en bout de machine. Les promotions se feront de la même manière.

 Nous rappelons, ici, que le poste de polyvalent n’est pas un poste de jour, ce qui justifie le maintien du salaire et du statut 5×8.

 Pour l’ensemble des salariés de la Prod, la pose des congés, reste à négocier, avec une égalité pour tous.

 Très important, comme pour les autres secteurs, il n’y aura pas de perte de ressources (acquis de la lutte de 1983 et des accords de maintien de ressources).

 Le projet de restructuration de l’infirmerie a bien failli faire capoter la négociation, face à notre mécontentement et notre indignation.

 C’est le Directeur, en personne, qui a proposé une autre organisation, s’appuyant sur notre proposition d’un vrai service Sécurité.

 Il propose, en effet, la création d’un poste « d’agent de sécurité », rattaché à la coordinatrice sécurité, qui, elle-même rapporterait directement au Directeur. Ce qui déclencherait une embauche en maintenance.

 Il y aurait alors une infirmière à la journée et un agent pour remplir les tâches sécurité (réseau incendie, extincteurs, formations, etc..) et faire le relais avec les secours extérieurs. Le directeur propose une négociation avec les services concernés et une date butoir au 30 juin 2014. En cas d’échec, on resterait dans la situation actuelle.

 Nous proposons des assemblées pour l’ensemble de la production le 25 novembre de 10 h à 12h  et de 14h à 16h et le 28 novembre de 14h à 16h

 Pour rappel nous proposons également des assemblées au personnel de la logistique le mardi 26 novembre de 10h à 12h et de 14h à 16h.

 Pour les autres secteurs, même après discussions,

ci-après la proposition ultime de l’employeur.

Pour toutes et tous : maintien des ressources et avantages liés au statut ex. journée DTAM.

 Pour l’administration : création de deux postes et modification du gardiennage en 2×8.

 Pour la maintenance : maintien des horaires 8h/jour, modification semaine astreinte avec journée de 7h, fin du samedi travaillé.

 Centrale énergie : création d’un poste et révision de la règle des congés pour équité entre tous.  

Votre avis nous intéresse

 En conclusion, Le PSE va entraîner le départ d’un certain nombre de personnes qui vont refuser la modification de leur contrat de travail, faire valoir le droit à leur retraite ou démissionner, ce qui va permettre à la direction de proposer un poste de reclassement à toutes et tous. Nous sommes même convaincus qu’en début  2014, des embauches en CDI seront nécessaires !

 Sans prévaloir de votre position, la détermination et le sérieux de l’organisation CGT aura déjà permis d’amoindrir l’ampleur de cette nouvelle restructuration. 

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RÉFORME DES RETRAITES, l’action continue

Posté par cgtchapelledarblayupm le 23 novembre 2013

 

CGTRÉFORME DES RETRAITES

Le 26 novembre, l’action continue.       fichier pdf tr_Reforme_retraites_20112013

Les députés examinent une version du projet de loi quasi identique à celle adoptée le 15 octobre à l’Assemblée nationale par un vote étriqué, rejetée ensuite à l’unanimité au Sénat. Le gouvernement y a notamment rétabli la mesure phare de cette réforme qui consiste en un allongement de la durée de cotisation. Une mesure injuste qui va condamner les jeunes salariés d’aujourd’hui à travailler 43 ans, les privant ainsi du droit effectif à une retraite à taux plein à 60 ans. Ce projet injuste et inacceptable conduirait aussi à un appauvrissement des futurs retraités, notamment les femmes.

A l’occasion du comité confédéral national des 6 et 7 novembre, les organisations de la CGT ont décidé à l’unanimité d’organiser des initiatives revendicatives les plus unitaires possibles auprès des députés dans les départements, le 19 novembre 2013 (jour de la présentation en deuxième lecture du projet de réforme des retraites), ainsi que des rassemblements devant les préfectures et devant l’Assemblée Nationale, le 26 novembre 2013, jour probable du vote du texte.

Notamment, dans la continuité des actions unitaires, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires d’Ile-de-France appellent à participer à la manifestation régionale unitaire le Mardi 26 novembre à 13 heures – Rue Chaussée D’Antin (Métro Chaussée d’Antin) pour se diriger vers l’Assemblée Nationale.

D’ores et déjà, des initiatives en territoires et dans des professions sont annoncées.

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les bonnets rouges

Posté par cgtchapelledarblayupm le 23 novembre 2013

BRETAGNE : LES BONNETS ROUGES SIPHONNES

PAR L’EXTREME-DROITEtéléchargement

vendredi 22 novembre 2013

Les Bonnets rouges ont bien du mal à endiguer la récupération de leur mouvement par l’extrême-droite. Un groupuscule identitaire lance une souscription estampillée du couvre-chef breton, après avoir tenté de récupérer la propriété de la marque « bonnets rouges ».

Le mouvement de contestation breton a bien du mal à endiguer la récupération de l’extrême-droite. Malgré l’annonce d’une charte (toujours en attente) « pour que ces gens-là ne puissent pas se retrouver dans notre combat », et les dénégations du maire de Carhaix Christian Troadec - »On refuse le soutien de Le Pen ou du FN, on n’en a pas besoin, il n’est pas question que ces gens puissent se rallier -dans Libération)- les leaders des 30.000 manifestants à Quimper fin octobre perdent chaque jour du terrain face aux coups de boutoir de groupuscules dans la mouvance du Front national.

Financement des identitaires

Dernier épisode en date, le lancement par un groupuscule d’identitaires d’une « Caisse de soutien aux victimes de la répression gouvernementale », avec le le logo du couvre-chef écarlate bien en évidence. Sous le prétexte de venir en aide aux « gens qui encourent des amendes, des peines de prison, une mort sociale certaine », « pour un pot de fleurs jeté lors d’une manifestation, pour un radar, symbole même du racket fiscal, incendié ou alors plus simplement et pacifiquement pour le simple port d’un bonnet rouge lors d’une commémoration le 11 novembre dernier », il s’agit purement et simplement de financer cette mouvance d’extrême-droite qui entend « protéger nos peuples et notre civilisation » de, au choix, l’Islam, l’immigration et tout ce qui vient plus globalement de l’étranger. Cette appel à souscription prétend même que les dons pourront donner lieu à déduction fiscale.

Proches du Printemps français et de la Manif pour tous Ce réseau identitaire proche d’autres mouvements aussi nauséabonds que le Printemps français ou la Manif pour tous, auteurs des hués à l’encontre de François Hollande lors des commémorations du 11 novembre, n’en est pas à son coup d’essai de récupération politique. Il a clamé avoir déposé la marque « bonnets rouges » auprès de l’INPI (Institut national de la propriété industriel) le 29 octobre dernier. Soit deux jours avant que le pdg d’Armor Lux ne pense à faire de même. Mais les deux parties n’ont pas coché la même catégorie pour procéder au dépot. Le premier a choisi le secteur des télécommunications. Le second celui de l’habillement. Une porte-parole de l’Inpi, citée par l’AFP, a précisé que le dépôt d’une marque ne vallait pas enregistrement. On saura donc dans cinq ou six mois, soit le temps de la procédure habituelle, qui obtiendra gain de cause.

Les syndicats de Bretagne manifestent ce samedi 23 novembre. Dans une déclaration commune, CGT,CFDT, FSU, Solidaires, CFTC, Unsa et CFE-CGC reprennent l’initiative au mouvement des Bonnets rouges. Ils appellent les salariés à manifester, le 23 novembre, dans les départements bretons, et avancent des propositions pour le pacte d’avenir pour la Bretagne.

L’Humanité.fr, 21/11/2013

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