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Danger grave et imminent

Posté par cgtchapelledarblayupm le 25 novembre 2017

FILPAC CGT Chapelle Darblay Grand-Couronne (UPM)

droit-de-retrait-2Danger grave et imminent.

 

L’Encadrement, tout l’Encadrement, informé vendredi 23 de l’absence de l’électricien de quart de la faction de nuit du samedi 24, a joué à quitte ou double avec le personnel, les exploitants, ceux d’en bas !

*

Ils ont déjà eu des « madames   superviseurs », alors pourquoi pas ?

 L’électricien de quart est un élément incontournable, indispensable dans la chaîne de la Sécurité. Il rassure ses collègues autant qu’il protège l’outil de travail. Il est donc impensable qu’il ne soit pas là !

Les membres du CHSCT, informés, eux aussi, de la situation ont assuré de leur soutien et leur présence, les salariés dans leur choix d’arrêter les installations si les choses en restaient là !

Prévenus à 21h par leurs collègues (!), les exploitants de la Centrale, du Désencrage, de la machine 6, des bobineuses, du stockage et des MPR, unanimement, constatant que le poste d’électricien de quart n’est pas tenu informent la hiérarchie que l’usine s’arrête pour raison de sécurité et montrer leur écœurement face au peu de considération d’une Direction absente, dépassée et irresponsable.

  Quelques réflexions du personnel : 

« Nous n’avons aucune information officielle de l’absence de l’électricien. »

« L’encadrement aurait dû demander l’arrêt des installations pour protéger le personnel. »

« Ils se foutent de nous »

« Ils sont tranquillement chez eux »

« Que se passe-t-il en cas d’incendie dans une salle électrique ? »

« Ça devait arriver, ça fait deux ans qu’on le dit. »Site_-_Article_-_DROIT_DE_RETRAIT-2-4012f

 

A quoi sert l’élec de quart ? A venir à Noël pour surveiller une usine arrêtée ?

*

 D’un commun accord, la chaudière est baissée au maximum, mais laissée en marche pour éviter, éventuellement, un redémarrage difficile. (Toujours cette protection de l’outil !)

 A 22h30, le Secrétaire du CHSCT, le  Délégué Syndical et le Secrétaire du Syndicat, déjà sur place, eux, se rendent à l’infirmerie pour déposer un « danger grave et imminent » sur le registre prévu à cet effet. Le Superviseur prévient alors le Cadre d’astreinte de la situation.

A 23h15, une discussion s’engage avec celui-ci pour peser la gravité de la situation.

Une première à Chapelle, jamais ce moyen n’a été employé pour protéger le personnel. C’est dire si la situation est gravissime et sous-estimée par les Responsables !!!

Un quitte ou double inconscient, qui débouche sur une action d’envergure déclenchant obligatoirement un CHSCT et un plan d’actions dans les plus brefs délais. Pour tenir compte du weekend et avoir les « bonnes » personnes, celui-ci est programmé lundi matin à 9h30.

(Si les deux parties ne sont pas d’accord, l’inspecteur du travail est informé et décide des suites à donner !)

panneau-STOP Voici la teneur du danger grave et imminent :

 Le vendredi 24 novembre, à 23h, le personnel factionnaire, constatant l’absence de l’électricien de quart, décide d’exercer son droit de retrait, considérant que sa sécurité ainsi que celle de l’outil de travail ne sont plus garanties.

(Une procédure interdisant toute sanction ou retenue de salaire.)

Toutes les discussions de la nuit ont porté sur le gâchis, le manque d’écoute, le manque d’implication et de discernement de certaines personnes.

Les exploitants, à tous les niveaux, qu’ils soient électriciens, remplaçants ou opérateurs attendent maintenant des actions fortes, des signes positifs pour pouvoir travailler en toute sécurité et attendent surtout d’être considérés à leur juste valeur.

 

 Quelques « aménagements » ne suffiront plus !

 Grand-Couronne, le 25/11/2017

Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay | Pas de Commentaire »

Retraite

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 novembre 2017

arrco

*

Retraite

Négociation de fusion AGIRC-ARRCO

vendredi 17 novembre 2017

Le 17 novembre 2017, s’est tenue la dernière séance de négociation sur la fusion en un seul régime de retraite complémentaire des régimes AGIRC (cadres) et ARRCO, fusion prévue par l’accord du 30 octobre 2015 que la CGT n’a pas signé.

Le document soumis à la signature des organisations syndicales par le patronat (80 pages) reprend l’intégralité des dispositions antérieures et des accords successifs de l’AGIRC et de l’ARRCO.

Il reprend en particulier les dispositions profondément régressives de l’accord d’octobre 2015 : - baisse de la pension de 10%, pendant 3 ans, si un salarié ne recule pas son âge de départ sans décote d’un an, ce qui anticipe un éventuel recul de l’âge de départ en retraite de 62 à 63 ans ; - recul de la date de revalorisation des retraites du 1er avril au 1er novembre ; - à partir du 1er janvier 2019, plus d’acquisition de nouveaux droits pour la garantie minimale de points des cadres ; - revalorisation de la valeur d’achat et de la valeur de service du point tenant compte d’un facteur de soutenabilité financière qui n’exclut plus une baisse de la valeur de service donc des retraites, ce qui va au-delà des dispositions de l’accord d’octobre 2015 ; - mise en place d’un pilotage semi-automatique du régime, avec une négociation tous les 4 ans sur les paramètres et une réduction du pouvoir de décision du Conseil d’administration.

La transformation de la cotisation AGFF en cotisation ordinaire et la disparition de l’association AGFF est un des rares points positifs de cet accord. Cette cotisation pour le financement des départs entre 60/62 ans et 65/67 ans faisait l’objet d’un chantage permanent de la part du Medef, en menaçant de supprimer le financement des départs avant 65 ans.cgt

La justification de la fusion des régimes AGIRC et ARRCO pour les signataires d’octobre 2015 était le déficit des deux régimes. Force est de constater que le nouveau régime sera lui aussi déficitaire et que la question d’un accroissement des ressources est toujours refusée par le patronat.

La négociation de novembre 2017 n’est pas seulement le dernier acte de l’accord d’octobre 2015, il est aussi le premier acte de la future réforme des retraites prévue par M. Macron pour 2018.

Le candidat à la présidence de la République prévoyait ce printemps de mettre en place un pilotage financier du système de retraite faisant du niveau des retraites et pas du niveau des ressources la principale variable d’ajustement, à l’image du système suédois.

Les propositions du Medef pour le régime unifié AGIRC-ARRCO sont cohérentes avec cet objectif de régression sociale.

La CGT appelle le monde du travail à la plus grande vigilance, dès le début de la concertation sur la réforme des retraites Macron prévue en 2018, et présentera des propositions de progrès social pour garantir l’avenir du système de retraite.

Montreuil, le 17 novembre 2017

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UPM Chapelle Darblay : l’inquiétude de la CGT

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 novembre 2017

*UPM Chapelle Darblay : l’inquiétude de la CGT

Les salariés de Grand-Couronne craignent un destin similaire à celui de Docelles, dans les VosgesLes salariés de Grand-Couronne craignent un destin similaire à celui de Docelles, dans les Vosges.

 Social. Des salariés de la papeterie Chapelle-Darblay s’inquiètent pour leur avenir et pointent le manque de lisibilité de leur direction finlandaise.
 

*

La machine 3, à l’arrêt depuis juin 2015

Un épisode de plus du feuilleton Chapelle-Darblay. Souvenez-vous : en novembre 2014, la direction finlandaise UPM, propriétaire, annonçait l’arrêt de la machine 3 et la suppression de 196 emplois sur le site de Grand-Couronne. Après moult luttes et combats, grèves et manifestations, le syndicat avait réussi à sauver quarante emplois, et obtenu la création d’une commission industrielle. Tout en perdant, quand même, sa machine 3, le 19 juin 2015 à 15 h. « Quid de cette machine ?, interroge Jean-François Gabala. La direction semble s’en désintéresser. »

Aujourd’hui dernière papeterie du groupe UPM en France, Chapelle-Darblay se sent fragilisée. Les équipes sont inquiètes face à un groupe sans projets ni investissements connus : « Nous n’avons rien touché des promesses de 2015 ! ».

Au début des années 2000, l’usine était à la pointe de la mutation écologique. Aujourd’hui, elle voit passer les trains du progrès. « Par exemple, pour nos 60 000 tonnes de cendres générées, nous avons une filière de revalorisation avec Sedicendres en soubassements de route mais, là encore, UPM attend sans investir ! ».

Pourtant la papeterie a parfaitement intégré le tissu économique de la métropole avec la plateforme de tri papier de Saint-Étienne-du-Rouvray, mais l’inquiétude est là qui ronge le moral des « pap chap ». « Le vécu quotidien dans l’organisation du travail est devenu anxiogène, l’avenir est illisible, sans plan d’action triennal ni même d’objectifs en 2018. » Contactée, la direction n’a pas donné suite à nos sollicitations.

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Conférence de presse du syndicat Chapelle Darblay

Posté par cgtchapelledarblayupm le 16 novembre 2017

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Conférence de presse du syndicat Chapelle Darblay

Une fois encore, le Groupe UPM, propriétaire du site Chapelle-Darblay, à Grand-Couronne, fait l’actualité de bien triste manière en étant accusé de sabotage de l’outil de travail sur son site de Docelles, dans les médias.

Hasard du calendrier, trois ans après l’annonce de l’arrêt de la Machine 3 du site de Grand-Couronne, le 14/11/2014 !

Une machine, un outil de travail, arrêté finalement sept mois plus tard grâce à la ténacité du personnel qui fera tout pour que cette machine sorte du papier de qualité, vendu jusqu’à la dernière tonne ! Un outil arrêté professionnellement, dans les règles de l’art, pour un redémarrage éventuel !!!

Un courage à mettre à l’honneur de ces ouvriers, respectueux, amoureux de leur machine !

Sans autre commentaire quant à l’attitude immorale des dirigeants d’UPM. Une accusation prise au sérieux par les fournisseurs, comme les collectivités locales, qui se questionnent sur le fait de travailler avec des patrons voyous.

Une inquiétude de plus pour les salariés du site Couronnais, où l’approvisionnement en matière première recyclée représente l’essentiel des acheminements.

Inquiétude qui s’ajoute à l’absence de stratégie, d’investissements et de projets pour répondre à la mutation écologique qui touche les industries et donc la papeterie Chapelle-Darblay.

Rien dans les médias qui annonce un investissement alors que des projets existent pour garder cette avance écologique commencée dans les années 2000 avec le passage aux 100% recyclés, puis 2006 avec la chaudière Biomasse. Depuis plus rien.

Maîtriser nos approvisionnements, minimiser nos déchets et les revaloriser seront les clés pour inscrire l’usine dans les années 2020. La seule volonté du personnel et de leurs représentants n’y suffira pas.

Conséquence de cette immobilisme, de cette « gestion » imprévisible, une organisation du travail anxiogène avec des Risques Psychosociaux prégnants !

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le 16 novembre, moi j’y vais !!!

Posté par cgtchapelledarblayupm le 11 novembre 2017

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Mieux vaut entendre ça que d’être sourd…

Posté par cgtchapelledarblayupm le 8 novembre 2017

Mieux vaut entendre ça que d’être sourd…

fichier pdf tract 19 oct

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003

 

 

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On attend quoi ?

Posté par cgtchapelledarblayupm le 8 novembre 2017

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On attend quoi ?

syndiques cgt

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Révision des conventions collectives de la branche papier : la vigilance s’impose !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 3 novembre 2017

Filpac-Cgt

Révision des conventions collectives de la branche papier :

la vigilance s’impose !vigilance

26 octobre 2017

Suite aux annonces du gouvernement de réduire le nombre de convention collective, et afin de ne pas se voir imposer des décisions par la Direction Générale du Travail. Le syndicat patronal a demandé de travailler sur un « toilettage » et un rapprochement des conventions de la branche.

Sur le principe la Filpac n’y est pas opposée. En effet aujourd’hui la branche est couverte par 4 conventions : 2 OETAM et 2 cadres. Ces 4 conventions sont parfaitement identiques, elles reflètent une époque où les patrons essayaient de « saucissonner » les secteurs pour mieux exploiter les travailleurs.

Aujourd’hui la situation est tout autre, les conventions sont pour les syndicats patronaux une question de survie et de pouvoir interne au sein d’un Medef tout puissant. Cela ne doit pas nous écarter de nos revendications surtout dans la période actuelle et à venir avec les dispositions rétrogrades du gouvernement.

Si le sujet parait simple dans une première approche, il ne l’est pas !

A ce jour les patrons parlent de remise à niveau et de sortir les dispositions dites obsolètes. Mais la Filpac se pose la question que veut dire « obsolète » dans le vocabulaire patronal. Est-ce au final pour eux une disparition de tous les points qu’ils bloquent, avec l’aide de certaines organisations :

  • l’ancienneté,
  • l’obligation de donner un acompte avant les départs en congés aux salariés qui le demandent
  • les primes de congés suivant l’ancienneté
  • le gommage des différences de couverture et de garanties sociales entre les OTEAM et les cadres
  • etc…

en alignant toutes et tous sur le moins disant ?

La convention collective est, pour tous les travailleurs de la branche, la garantie quel que soit son lieu de travail chacun a des minimums garantis identiques.

Les ordonnances « Macron » risquent de bouleverser l’équilibre et l’équité entre les travailleurs du papier. L’inversion de la hiérarchie des normes dans le cadre  souvent de « pseudo négociation » voire de référendum d’initiative patronale dans l’entreprise va briser cela.

La vigilance s’impose devant les mauvais coups actuels et à venir. Seule la mobilisation des travailleurs de nos branches avec l’appui de la Filpac pourra permettre un réel progrès et des avancées significatives sur une convention collective unifiée. Une convention moderne sans possibilité d’interprétation qui donne des droits et des protections aux salariés.

Une convention qui couvre de façon équitable toutes et tous !

Montreuil, le 25 octobre 2017

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