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Compte rendu de la réunion entre les OS, OP, et la ministre du Travail

Posté par cgtchapelledarblayupm le 3 juin 2020

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Compte rendu de la réunion entre les OS, OP, et la ministre du Travail du vendredi 29 mai 2020

Toutes les organisations syndicales et patronales étaient présentes.

L’ordre du jour prévu par Pénicaud a porté sur quatre points.

En premier lieu une réunion va avoir lieu à l’Élysée cette semaine (jeudi 4 juin 2020) en multilatérale portant notamment sur la relance économique.

• Le premier point concernant le vote dans le cadre de la loi d’urgence sanitaire, dans la nuit au sénat d’un amendement gouvernemental fondé sur la transposition de l’accord métallurgie dans la loi et permettant de déroger au code du travail en matière de temps de travail et de rémunération par accord majoritaire d’entreprise, avec une « prime » aux bons élèves puisque l’état versera des aides plus importantes si un accord est signé.

L’ensemble des organisations syndicales ont dénoncé l’annonce après coup de cette décision et la CGT a rappelé qu’elle n’était pas signataire de l’accord métallurgie et qu’elle est en désaccord avec le contenu de cet amendement.

Les autres organisations étaient gênées puisqu’elles sont signé l’accord.

• Le deuxième point concerne l’apprentissage, des décisions vont être prises cette semaine et seront annoncées sans doute lors de la réunion à l’Élysée du jeudi 4 juin 2020 ; elles reprennent essentiellement les exigences patronales de prise en charge des rémunérations, cotisations sociales, nous découvrirons, sans doute l’ensemble des mesures, là aussi lors de la réunion à l’Élysée.

• Le troisième point concerne le chômage. La ministre du Travail a rappelé les annonces en matière d’explosion du chômage mais ne marque aucune volonté malgré la demande de toutes les Organisations syndicales d’abroger la réforme de l’assurance chômage.

• Le quatrième point concerne la relance économique qui devrait être présentée en fin d’été, pour ce faire, le gouvernement propose la tenue d’une conférence pour l’emploi et demande si elle doit être nationale ou territoriale.

La réunion a été très courte, chacun a réagi sur les propositions du gouvernement, les organisations patronales se sont bornées à demander toujours plus d’argent pour la relance économique, chantage aux licenciements…  Note aux organisations Montreuil, le 3 juin 2020

La CGT a rappelé son opposition à la déréglementation du droit du travail, a fait part de ses propositions pour sortir de la crise et de celles avancées avec les organisations syndicales et associatives autour des 34 propositions.

Elle a redemandé la tenue d’une réunion spécifique sur le chômage pour abroger la réforme et trouver des solutions immédiates pour les privés d’emploi, les jeunes…elle a dénoncé l’absence de dialogue social avec le ministère du travail et a redemandé qu’un ordre du jour soit adressé en amont de la réunion pour les futures rencontres ce qui a été accepté par Pénicaud.

Montreuil le 3 juin 2020.

Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay | Pas de Commentaire »

«Le chef de l’Etat doit montrer une volonté politique»

Posté par cgtchapelledarblayupm le 3 juin 2020

A Grand-Couronne, la papeterie Chapelle-Darblay menacée de fermeture

Dans l’agglomération de Rouen (Seine-Maritime), la papeterie Chapelle-Darblay

pourrait fermer ses portes durant l’été. Un coup dur pour l’emploi

mais aussi pour la filière du tri sélectif.

Les jours de la papeterie Chapelle-Darblay à Grand-Couronne (Seine-Maritime) sont-ils comptés? Seule certitude : depuis septembre 2019 et l’annonce par UPM, son propriétaire finlandais, de sa volonté de vendre le site, rien n’a bougé. Malgré des contacts bien avancés avec le groupe belge VPK, aucun accord de rachat n’a été trouvé. Mais UPM entend toujours se séparer de son usine française avec la mise en place d’un plan de licenciement dès le 15 juin pour une fermeture durant l’été.L4NUGAIMV7ZAUFNE77UMMEQS44
« Malgré la crise sociale avec près de 230 suppressions de postes, sans compter les centaines d’emplois qui dépendent du site, nous n’avons jamais pu nous faire entendre, regrette Cyril Briffault, le secrétaire général CGT. Juste après l’annonce de la vente, il y a eu Lubrizol, puis la réforme des retraites et enfin l’épidémie de Coronavirus … Et pourtant, s’il fallait un exemple d’une industrie d’avenir, de ce qu’est l’économie circulaire, c’est sur Chapelle-Darblay que les regards devraient se tourner ».

Un outil de recyclage performant

Car la papeterie ne produit que du papier journal 100 % recyclé. En 2019, 350 000 tonnes étaient fabriquées à Grand-Couronne, soit l’équivalent de la collecte de papiers usagés de 24 millions d’habitants répartis sur l’Île-de-France et un grand quart nord-ouest du pays.
Le site, où en 1985 a été inventé le procédé de désencrage et de recyclage du papier journal, reste donc un outil performant, malgré la fermeture d’une de ses lignes en 2015. Il exporte d’ailleurs une partie de sa production. S’il fermait, cela obligerait d’ailleurs ses clients de la presse française à importer une partie de leurs besoins. En outre, il possède une chaudière biomasse capable de chauffer l’équivalent d’une ville de 20 000 habitants et une station d’épuration pouvant subvenir aux besoins de 400 000 personnes. Et surtout, c’est l’un des deux seuls débouchés de la filière du recyclage pour les vieux papiers en France, avec la papeterie battant pavillon norvégien de Golbey dans les Vosges.
Comme le souligne l’ancien président de région, l’élu socialiste Nicolas Mayer-Rossignol, à l’origine d’un courrier adressé au Premier ministre, Édouard Philippe : « Où va être recyclé ce papier collecté par des dizaines d’agglomérations? Toutes ne vont pas pouvoir trouver des accords avec le dernier site restant. Au final, il sera moins valorisé ou tout simplement incinéré ou enterré. Est-ce cela le nouveau monde de l’après confinement? » En bout de chaîne, c’est bien la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TOEM) des particuliers qui pourrait augmenter.

«Le chef de l’Etat doit montrer une volonté politique»

Pour Arnaud Dauxerre, représentant syndical non encarté des cadres de l’usine, rien n’est encore perdu : « Il y a eu un premier courrier des élus communistes pour alerter le gouvernement. D’autres ont suivi notamment celui des députés de la majorité. Il y a eu en coulisses du travail fait pour trouver une solution de rachat. Sans succès. Mais aujourd’hui, il faut que le chef de l’Etat montre une volonté politique de sauver le site. » Avec, pourquoi pas, une solution collective pour gagner du temps et trouver un repreneur. « Car si on ferme l’usine avec un simple gardien devant la grille, l’outil de production va se détériorer et ce sera un énorme gâchis », assure Cyril Briffault.
Tous aimeraient qu’une tête d’affiche de l’exécutif fasse le déplacement et prenne officiellement position. Pourquoi pas le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire ? Lui connaît bien le dossier. En 2014, alors élu au conseil régional de Haute-Normandie, il vantait même les mérites de l’usine dans un courrier adressé à Manuel Valls : « Cette entreprise, fleuron de notre industrie, est un acteur majeur dans le recyclage du papier en France », écrivait-il, précisant qu’elle participait « aux enjeux du développement durable » et qu’elle était dotée « d’un outil de production performant et de compétences considérables ». Pour les défenseurs de Chapelle-Darblay, c’est toujours vrai en 2020.Par Laurent Derouet Le 2 juin 2020 à 11h31

Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay | Pas de Commentaire »

 

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