• Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait !

    Ils ne savaient pas que c'était imposible, alors ils l'ont fait !

  • Méta

  • Visiteurs

    Il y a 1 visiteur en ligne
  • Mes albums récents

    • Album : Solidaires
      <b>IMG_20220407_114221</b> <br />
    • Album : manif du 4 février 2021
      <b>l</b> <br />
    • Album : initiative 16 octobre
      <b>JF3_2382_HD</b> <br />
    • Album : AG du personnel 25 09 2020
      <b>DSC_4775</b> <br />
    • Album : action 1er juillet
      <b>DSC_4063</b> <br />
    • Album : action 25 juin
      <b>DSC_3926</b> <br />
    • Album : Solidarité avec les personnels de la santé
      <b>3</b> <br />
    • Album : Montage de l'expo pap chap à Montreuil
      <b>DSC05698</b> <br />
  • Accueil
  • > Archives pour le Mardi 14 septembre 2021

Message important aux salariés pap chap qui ont travaillé

Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 septembre 2021

*

Message important aux salariés PAP CHAP qui ont travaillé à l’usine de Saint Etienne du Rouvray,

ex Chapelle Darblay, ex PAP CHAP aussi  … 

*

*

L’usine DS Smith, près de Rouen, reconnue site amiante :

les salariés pourront être indemnisés

1

C’est la fin d’un long combat. L’usine DS Smith à Saint-Étienne-du-Rouvray a été inscrite dans la liste des sites ouvrant droit à la préretraite amiante. Les salariés qui y ont travaillé de 1930 à 1998 pourront prétendre à des indemnités pour préjudice d’anxiété de développer une malade grave.

 

Guy Quevilly (au centre) secrétaire du CSE de DS Smith avec ses collègues de la CGT savoure le succès d’une lutte collective engagée depuis 2017:  » Enfin notre usine est reconnue site amiante !  » Conséquence : des départs en prépretraite sont possibles ainsi qu’un préjudice d’anxiété.

La bonne nouvelle est tombée le 7 juin 2021, par un arrêté publié au Journal Officiel. « Après quatre années d’un travail de fourmi, enfin notre usine est classée amiante », se réjouit Guy Quevilly, secrétaire Filpac CGT du CSE de DS Smith, à Saint-Étienne-du-Rouvray.

Trois ministères (santé, travail et économie) ont paraphé un texte inscrivant le site dans une liste complémentaire des établissements susceptibles d’ouvrir droit à un sésame : l’ACAATA (allocation de cessation anticipée d’activité des travailleurs de l’amiante). Autre conséquence : le classement ouvre droit au Fonds d’indemnisation pour les victimes de l’amiante (Fiva).

« L’amiante c’est une épée de Damoclès qui plane au-dessus de nos têtes. C’est fourbe, cela peut entraîner des maladies diverses se déclarant parfois vingt ans après l’exposition », insiste Alexandre Genet, représentant CGT.

 Actifs, retraités et anciens salariés

Pour faire comprendre les risques encourus et informer des droits et recours sur le préjudice d’anxiété, le syndicat organise mercredi 22 septembre, de 14 h à 17 h, au foyer municipal de Oissel, une réunion d’information ouverte aux actifs, retraités et salariés qui ont été mutés à l’usine de Grand-Couronne. Deux avocats spécialisés dans les problèmes de l’amiante et un représentant de l’ADDEVA (association départementale des victimes de l’amiante) seront également présents.

DS Smith emploie environ 180 salariés pour la papeterie et la cartonnerie, rue Désiré-Granet, à la frontière avec Oissel. Elle est chargée d’une histoire mouvementée qui remonte à 1928, avec des exploitants successifs (Chapelle Darblay, Otor, Europac). À la grande époque, le site comptait 1 800 personnes. Ici, dans toutes les générations, quelqu’un connaît un proche, un copain, un retraité, touché par une maladie provoquée par une exposition à l’amiante, ce matériau interdit en France depuis 1997. « Quand le site a été désamianté en 2006, on y a retiré l’équivalent de trois terrains de foot d’amiante », raconte un jeune délégué syndical.

Lire aussiLes salariés de Chapelle Darblay veulent le classement « amiante »

 80 départs anticipés

Qui est concerné ? Grâce à cette reconnaissance amiante, selon les estimations du syndicat, «  environ 80 salariés, ayant travaillé jusqu’à 1998 inclus, pourront prétendre à un départ anticipé. Les anciens déjà partis pourront bénéficier d’un suivi médical pris en charge à 100 % et demander une indemnisation de préjudice d’anxiété. Les ayants droit des personnes décédées peuvent aussi percevoir une indemnisation ». À ce jour, plusieurs dizaines d’anciens salariés sont déjà reconnues victimes de l’amiante. Côté procédure, un dossier collectif sera présenté devant le tribunal des prud’hommes de Rouen. « Cela peut prendre plusieurs mois, mais c’est sans risque pour les salariés cela permet un meilleur suivi santé », assure Me Frédéric Quinquis, un des avocats du cabinet Ledoux, spécialisé dans la sécurité et la santé au travail.

 

 

 

Surtout n’hésitez pas à aller vous renseigner en participant à leur assemblée générale, voir les détails ci-dessous 

*

OIP

IMG_004611

Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay | 2 Commentaires »

 

ZONĂ LIBERĂ DE MA... |
Dekra Box - CFDT Industria... |
poureuxavanttout |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | corps des humbles
| PAIE ACTUALITY
| Ecole St Vincent de Paul de...