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Le film sur la lutte de sauvegarde de notre usine est disponible sur les différentes plateformes ci dessous

Posté par cgtchapelledarblayupm le 29 juin 2024

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Bonjour à vous tou.te.s,Si vous n’avez pas eu l’occasion de voir hashtag#LusineLeBonLaBruteEtLeTruand au cinéma, le film est désormais disponible sur les plateformes suivantes :- Apple TV
- Google Play
- Microsoft
- Prime VideoClic                                       sur le pdf : fichier pdf MyDC_MEA_USINEBONBRUTETRUAND
- Orange VOD                                                             
- UniversCiné
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- La médiathèque numérique Schuch Productions hashtag#nextfilmdustribution hashtag#steamboatfilms hashtag#fpassociates Arnaud DAUXERRE Cyril Briffault Julien Senecal Fibre Excellence Philippe Gigot Lavigne Léon Rousseau Steven Gaborieau Métropole Rouen Normandie

Activez pour voir l’image en plus grand.

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« À celles et ceux qui ne se reconnaissent plus dans la politique »

Posté par cgtchapelledarblayupm le 28 juin 2024

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« À celles et ceux qui ne se reconnaissent plus dans la politique »

 

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Et si on continuait de parler de la Chapelle ?

Posté par cgtchapelledarblayupm le 24 juin 2024

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2Et si on continuait de parler de la Chapelle ?

 

Pour tous ceux qui ont suivi… l’histoire de notre usine n’est pas terminé, loin de là !

Une enquête publique a démarré depuis quelques jours et cela permet à tous de bien comprendre le projet Chapelle Darblay, de lever les éventuels doutes et bien entendu de rassurer tout le monde sur le bien-fondé du redémarrage.

L’usine qui porte pour le moment le nom de SNDP (Société Nouvelle Darblay Production) a traversé un nombre d’épreuves incroyable et le syndicat CGT Chapelle Darblay n’est pas peu fier de cette réussite, de cette grande victoire et se réjouit fortement du redémarrage prochain de notre bijou industriel.

 

Et oui elle est toujours là, toujours debout et plus prête que jamais de redémarrer !!! 

Dessin affiche chapelle darblay 001

Alors oui il reste des conditions « suspensives » mais bon, restons sérieux quelques minutes… personne ne doute que l’enquête publique donnera de bons résultats, que l’Etat validera l’accompagnement de la Chapelle et que l’ensemble des mesures prises depuis presque 5 ans verront enfin le jour.

Une réunion d’information sur l’enquête publique est prévue le 27 Juin

à 19H à la mairie de Grand Couronne.

 Donc à tous les Pap-Chap, les copains, les anciens, et toutes les personnes qui se sentent concernés de près comme de loin : venez écouter, comprendre et aidez-nous à faire en sorte que ce projet émerge enfin !!!

Vous trouverez aussi un lien ci-dessous pour pouvoir nous laisser un avis qui nous aidera forcement pour l’avenir du site.

https://www.registre-numerique.fr/sndpgrandcouronne76530-seine-maritime/deposer-son-observation

Ainsi que pour les plus aguerris un QR code :

1

 

Des flyers d’information vont être déposer dans les mairies concernées : Grand Quevilly, Petit Couronne, Grand Couronne, Moulineaux, Hautot sur Seine et Val de la Haye.

le trio cgt chapelle darblay.

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l’histoire de notre lutte CGT, pour toujours …

Posté par cgtchapelledarblayupm le 23 juin 2024

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l’histoire de notre lutte CGT, pour toujours…

Ne nous trompons pas de bulletin de vote.

Ne nous trompons pas de colère.

 

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Le combat continu pour le redémarrage de notre usine Chapelle Darblay

Posté par cgtchapelledarblayupm le 21 juin 2024

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Tous les PAP CHAP actifs ou retraités sont les bienvenus

le jeudi 27 juin à 19h à la mairie de Grand Couronne,

pour la reunion publique sur le projet de relance

de l’usine Chapelle Darblay ……..

Capture d’écran 2024-06-21 202505

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Toutes les forces de la CGT doivent rentrer dans la bataille …..

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 juin 2024

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Appel du CCN aux syndicats CGT, Il est minuit moins une.

20240612_VisuelManif_15juin

*

Toutes les forces de la CGT doivent rentrer dans la bataille pour empêcher l’extrême droite

d’accéder au pouvoir.

Affiche Faisons pression populaire

*

Le CCN appelle tous les syndicats à s’engager. Aucun ne doit rester

en dehors de la bataille.

*

Un front populaire ne se décrète pas, il se construit. Chaque geste compte !

 

Depuis dimanche soir, après le traumatisme des européennes et la sidération de la dissolution, nos initiatives sont en train de changer la donne. Après des initiatives souvent spontanées rassemblant beaucoup de jeunes toute la semaine, les manifestations du week end des 15 juin et 16 juin ont vu défiler 650 000 personnes dans toute la France.

Cette mobilisation populaire a conduit la gauche à s’unir, à s’entendre sur un programme et des candidatures uniques.

Pour autant, la menace est loin d’être écartée puisque les prévisions donnent pour l’instant au RN une majorité, peut-être même absolue.

 

La violence de l’extrême droite se révèle : ce ne sont que des prémices

Pour « fêter » la victoire de leur candidat le 9 juin, 4 militants d’extrême-droite dont le leader du GUD (et fils d’un dirigeant du RN), ont tabassé un jeune homosexuel à Paris, en promettant de faire pire après l’accession au pouvoir de Bardella.

L’extrême-droite n’est pas une force politique comme les autres. Elle rassemble toujours des groupuscules ultra-violents, racistes, antisémites, sexistes et homophobes dont les pratiques courantes visent à terroriser leurs adversaires. Trois de ces attaques ont même été mortelles depuis 2019 !

 Les pouvoirs que confère la 5e république au premier ministre, qui contrôlera en plus la majorité de l’assemblée nationale, sont considérables et uniques parmi les démocraties du monde: 

il écrit la loi et peut même se passer de vote de l’assemblée pour réformer par décret ou par ordonnance,

Il contrôle le ministère de l’intérieur, la nomination des préfets et des forces de police, celui du ministère de la justice, l’avancement des procureurs, le ministère du travail (il a le dernier mot pour autoriser ou non le licenciement des salaries protégés)

Il nomme aussi 3 membres de l’Arcom (autorité de contrôle des medias et internet). 

Jamais la CGT ne mettra un signe égal entre l’extrême droite et une quelconque autre force politique. Il y a une différence de nature qui tient à ce que si l’extrême droite arrive souvent par les urnes, elle refuse de rendre le pouvoir. Soit parce qu’elle combat le résultat des élections, en tentant d’organiser des putsch comme aux Etats Unis et au Brésil, soit parce qu’elle change les règles du jeu pour être sûre de ne pas perdre les élections, à l’image de ce que Meloni tente d’imposer en Italie avec une réforme constitutionnelle qui remet en cause l’indépendance de la justice et les prérogatives des syndicats. C’est ce à quoi s’appliquera Bardella sitôt son entrée à Matignon. Il mettra tout en œuvre pour être sûr que le RN gagne la présidentielle en 2027, en s’attaquant à tous les contre-pouvoirs : les médias, les syndicats et la justice notamment.

 Il nous faut donc tout faire pour empêcher ce scénario catastrophe. Le CCN appelle les militants CGT à prendre conscience du danger mortel que représente le RN.

 

 L’extrême-droite au service du capital

Ces derniers jours, la chute de la Bourse a été organisée par le capital pour remettre les exigences financières au premier plan : les promesses sociales menacent les profits donc vous devez donner des gages que vous ne changerez rien.

Sans surprise, l’extrême-droite a répondu docilement à cette injonction en reniant les promesses de revenir sur la réforme des retraites de Macron. Plus question de revenir à 60 ans, ni même à 62 ans.

L’extrême-droite est au service du capital. Elle n’a aucune intension de tenir ses promesses sociales, qui sont d’ailleurs contraire à son corpus idéologique ultra-libéral.

Dans le programme du RN, la privatisation de l’audio-visuel public le prouve. Un candidat a même affirmé qu’il fallait confier le service public postal à Amazon !

L’alliance entre une partie de la droite et l’extrême droite avec le ralliement d’Eric Ciotti a été organisée par Vincent Bolloré, patron milliardaire.

 

 La CGT, indépendante mais pas neutre !Affiche manifestations raz de marée le 23 juin

L’apolitisme, c’est-à-dire l’interdiction d’aborder des débats politiques, est souvent le cheval de Troie de l’extrême-droite. Dans l’idéologie de celle-ci, les salariés ne doivent pas s’occuper de l’organisation de la société ou même des grands choix des entreprises. L’extrême-droite défend la collaboration de classe (on est tous dans le même bateau donc les décisions patronales ne doivent pas être contestées). C’est pour cela que la charte du travail de Vichy (1941) interdit les confédérations syndicales et veut les remplacer par des corporations. Elle interdit également la grève.

 Par méconnaissance, et vu la pression patronale et la confusion sur l’extrême-droite, des syndiqués CGT estiment que le syndicat « ne doit pas faire de politique ».

S’il est vrai que la CGT ne veut pas être partisane de telle ou telle force politique, elle ne s’interdit jamais de s’exprimer sur la situation politique. Celle-ci a un impact direct sur la situation sociale des salariés, il est donc nécessaire de s’en préoccuper. La CGT est indépendante mais pas neutre !

Le congrès d’unification de Toulouse, en 1936, entérine même « la collaboration momentanée avec les partis lorsque les circonstances l’exigent ».

Des limites existent néanmoins : nos statuts interdisent l’utilisation du sigle ou de l’appartenance à la CGT dans une élection (article 6), et les membres du BC sont automatiquement démissionnaires s’ils sont élus à un mandat politique national (article 30).

 Dans la situation actuelle, quand un parti politique d’extrême-droite risque d’accéder au pouvoir, menaçant les acquis sociaux et les libertés, il est légitime que la CGT se mobilise !

 Une alternative se dessine grâce au mouvement social.

Le Nouveau Front Populaire s’est entendu sur un programme de rupture avec les politiques néolibérales portées par le patronat et de nombreux gouvernements. Il contient de nombreuses mesures qui reviennent sur les attaques des précédents gouvernements (abrogation de la réforme des retraites et de l’assurance chômage, de la loi Kasbarian sur le logement, de parcoursup du « choc des savoirs », de la fusion ASN/IRSN, de la loi asile immigration…) et des avancées structurantes pour répondre aux urgences, la reprise des 10 points de la déclaration intersyndicale du 10 juin ainsi que certaines des revendications CGT (Smic à 2000€ brut, indexation des salaires sur les prix, augmentation des pensions, retraite à 60 ans, investissements dans les services publics et notamment les hôpitaux et l’éducation, pôle public bancaire, pôle public du médicament, plan de reconstruction industrielle, loi énergie, 32h, retour des CHSCT, égalité F/H et lutte contre les violences sexistes et sexuelles, régularisation des sans papier, police de proximité…). Ce n’est pas un texte qui prend en compte toutes nos revendications, mais ce serait un immense bol d’air pour toute la société et les salariés en particulier !

 La bataille va être très rude contre les fascistes, bien sûr, mais aussi avec le patronat qui voit avec une grande inquiétude la possibilité que le rapport de force s’inverse. Pour rendre possible ces avancées, et pousser plus loin les mesures, nous devons établir des rapports de forces partout dans les entreprises et dans la société.

 Au vu de la gravité de la situation, le CCN considère que la CGT doit prendre ses responsabilités et, à l’image de ce que nous avons fait en 1936, en 1945 ou en 1981 par exemple, appeler les syndiqu.é.e.s les salarié.e.s, les privé.es d’emploi et les retraité.e.s à voter pour le nouveau Front populaire. Cela ne constitue certainement pas un chèque en blanc et encore moins une remise en cause de l’indépendance de la CGT qui protégera toujours sa liberté d’expression et d’action. La CGT ne présente pas de candidat.e.s aux élections législatives et compte bien exercer pleinement son rôle syndical de construction du rapport de force et d’interpellation des élu.es politiques. Rien ne sera jamais acquis sans la lutte.

 

Le CCN appelle les syndicats CGT à multiplier les mobilisations pour exiger des réponses aux besoins sociaux. Les 20 et 27 juin, nous appelons à multiplier les actions sur les lieux de travail, y compris par la grève, pour faire monter les revendications professionnelles et notamment les exigences d’augmentation de salaires et de maintien de l’emploi

Le 23 juin, nous appelons à de nouvelles grandes manifestations contre l’extrême droite, à partir de l’appel unitaire féministe. Il convient de prendre les dispositions pour que personne ne manque à l’appel ! Les manifestations du 23 juin doivent être encore plus massives que celles des 15 et 16 juin, avec des cortèges professionnels et d’entreprises pour créer des dynamiques à partir des lieux de travail !

 Des mesures concrètes d’organisation pour débattre et mobiliser

La réactivité et la mobilisation des militants de la CGT doivent s’amplifier.

Encore un trop grand nombre de nos syndicats sont absents des actions, et ne répondent pas aux sollicitations. C’est un véritable problème qui ne peut plus durer.

Les agendas doivent être allégés pour privilégier le temps de déploiement. L’assemblée nationale est dissoute et le sénat a suspendu ses travaux, il nous faut nous aussi, suspender, sauf urgence, les réunions avec les patrons pour concentrer tout notre temps militant sur la construction de la mobilisation!

 Une véritable organisation doit être mise en place pour se répartir les responsabilités :

-          Mener les débats dans l’entreprise, solliciter les salariés pour participer aux actions programmées ;

-          Se mettre à disposition de l’union locale ou de l’union départementale pour faire le tour téléphonique des syndicats non mobilisés, et pour organiser des distributions dans les entreprises où la CGT n’est pas organisée.

-          Inviter l’ensemble des syndiqué.e.s à participer aux manifestations, notamment celle du dimanche 23 juin, et à voter les 30 juin et 7 juillet.

 Les formes d’initiatives pour favoriser les discussions peuvent être diverses : soirée débat, accueil café à l’entrée des entreprises (ou dedans quand c’est possible) …  

Les formes d’action revendicatives peuvent également être diverses. Un syndicat qui n’a pas l’habitude ou les forces de faire grève peut commencer par une pétition sur les salaires ou tout autre sujet. Des cortèges d’entreprise doivent être organisés dans les manifestations pour créer une dynamique collective.

 Il convient enfin, dans tous les territoires, professions et entreprises, de convoquer des intersyndicales les plus larges possibles en s’appuyant sur le texte de l’intersyndicale du 10 juin dernier.

 Face à la menace fasciste, faire adhérer en masse !

Un soin particulier doit être mis dans la syndicalisation: les demandes d’adhésions ont été multipliées par quatre depuis une semaine, cela pourrait être encore plus élevé avec des mesures volontaristes de notre part. Il faut accueillir toutes les nouvelles et nouveaux et faire adhérer en masse. Face à la menace fasciste, nous avons plus que jamais besoin de renforcer la CGT !

 Le CCN appelle tous les syndicats à s’engager. Aucun ne doit rester en dehors de la bataille. Un front populaire ne se décrète pas, il se construit. Chaque geste compte !

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Montreuil, le 16 juin 2024.

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Le CCN appelle les syndicats à mettre en place de véritables plans de bataille et à en faire la priorité.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 12 juin 2024

*Logo-cgt

 

Les organisations du CCN mesurent le caractère gravissime de la situation

issue de l’élection du 9 juin 2024.

*

*

La crise démocratique s’est encore aggravée : la moitié des citoyens ne se sont pas déplacés. Et ceux qui se sont déplacés ont voté à plus de 36% pour des listes d’extrême-droite.

A la suite de ce résultat, le Président de la République a annoncé la dissolution de l’Assemblée Nationale, ce qui ouvre potentiellement les portes du pouvoir à l’extrême-droite.

Pour les organisations du CCN, il est indispensable d’alerter les syndicats et les syndiqués CGT sur la menace immédiate que fait peser cette situation sur le pays, sur les droits sociaux et sur l’activité syndicale elle-même.

NON, accéder au pouvoir ne fragilisera pas l’extrême-droite

Si l’extrême-droite obtient la majorité absolue à l’Assemblée Nationale, non seulement elle pourra écrire la loi, mais elle bénéficiera également des pouvoirs du Premier Ministre, du Gouvernement et du Président de l’Assemblée Nationale.

Or l’extrême-droite utilise toujours les pouvoirs qu’elle obtient pour tordre les règles et confisquer la démocratie.

La mise sous contrôle des médias en Hongrie, le recours à la force par Bolsonaro au Brésil, les procédures juridiques extraordinaires (méga décret) pour prendre de cours l’opposition par Mileil en Argentine… les démonstrations contemporaines sont nombreuses !

Quelques exemples des pouvoirs qu’obtiendrait l’extrême-droite :

- Proposition de nomination des Préfets de police ;

- Proposition de nomination des procureurs de la République ;

- Nomination de 2 membres du Conseil de la Magistrature ;

- Désignation de 3 membres de l’ARCOM (contrôle des média et d’internet) ;

- Découpage électoral des circonscriptions législatives ;

- Décision ultime sur les licenciements de salariés protégés…

Nous ne pouvons donc pas jouer avec la situation. Il faut empêcher l’extrême-droite d’accéder au pouvoir .

L’extrême-droite ciblerait prioritairement la CGT

La CGT serait directement dans le viseur du RN puisqu’elle représente l’un des plus gros contre pouvoirs par son nombre d’adhérents, son implantation et son opposition idéologique aux thèses d’extrême-droite.

Le RN l’a montré en s’attaquant à nos mobilisations contre certaines réformes, ou en dénigrant nos modes d’action (la grève en particulier.)

Mais c’est localement, dans les endroits où ils ont le pouvoir, que l’attitude du RN est encore plus claire :

à Hénin-Beaumont par exemple où le syndicat CGT a d’abord subi des pressions puis ses membres ont été stigmatisés individuellement, et enfin le secrétaire général a été muté puis révoqué sans justification en 2017.

La stratégie de l’extrême-droite c’est la terreur contre ses opposants !

Nous devons mener la bataille du terrain et des idées

Nous pouvons informer, convaincre, motiver les salariés.

Nous devons en faire une priorité.

Les directions de syndicats doivent faire acte de volontarisme.

Le CCN appelle les syndicats à mettre en place de véritables plans de bataille et à en faire la priorité en supprimant toutes les activités non indispensables (en particulier les réunions institutionnelles avec le patronat) :

- Recensement des camarades disponibles chaque jour ;

- Plan de tournées dans l’entreprise (et avec les Unions Locales dans les entreprises où nous ne sommes pas implantés) ;

– Ecriture de tracts locaux ou tirage des tracts à disposition (tract confédéral ou autres) ;

- Convocation d’Assemblées Générales de syndiqués ;

- Convocation d’intersyndicale pour gagner l’implication le plus large possible des autres OS…

- Appels aux différentes initiatives citoyennes ou intersyndicales (par exemple les manifestations de ce samedi 15 juin 2024, les journées d’actions et de grève des 20 et 27 juin 2024).

Pas de chèque en blanc !

Les salariés sont essentiellement démobilisés par les expériences passées (trahisons des engagements).

Nous ne leur proposons pas d’oublier cette réalité. Nous les appelons à voter pour des solutions qui correspondent à nos aspirations et à nos revendications, pour empêcher l’extrême-droite d’accéder au pouvoir tout en empêchant les macronistes de s’y maintenir.

Nos objectifs ne sont pas les places d’élus. Nous avons des objectifs sociaux, des revendications dont nous voulons la satisfaction.

Notre syndicalisme est indépendant, exigeant et vigilent. Il s’agit de gagner l’amélioration de nos vies, de sortir de la période réactionnaire que nous connaissons depuis 20 ans. C’est impossible avec l’extrême-droite qui en sera au contraire un accélérateur.

C’est impossible avec Macron et ses semblables qui sont à l’origine des lois régressives de ces dernières années. Il faut donc confier le stylo qui écrit la loi à des élus qui nous écoutent, et ne pas hésiter à se faire entendre d’eux pour imposer le respect des promesses.

La CGT est indépendante mais pas neutre ! Il faut renforcer la CGT !

Dans cette période, certains de nos syndiqués qui ont été convaincus par l’extrême-droite décideront peut-être de rendre leur carte face à la position intransigeante et engagée de la CGT.

Nous devons tenter de remettre en cause leurs convictions d’extrême-droite mais à défaut, il faut assumer leur départ sans faiblir. Et nous devons aussi mesurer que des centaines de milliers de salariés sont inquiets et se sentent impuissants face à l’impasse du duo Le pen/Macron.

Nous pouvons leur offrir un cadre d’engagement, d’implication, d’utilité et d’efficacité. Beaucoup d’autres salariés n’ont pas forcément conscience de la situation et peuvent aussi nous rejoindre si nous les alertons. Dans les déploiements que nous allons organiser dans les prochains jours, nous devons largement proposer l’adhésion à la CGT.

Dans tous les cas, faire monter les exigences revendicatives Pour porter la question sociale dans le débat public et mettre ainsi en difficulté l’extrême-droite, pour s’impliquer de manière exigeante dans les élections, la meilleure manière est de multiplier les actions sur les cahiers revendicatifs.

Le patronat est à la manœuvre pour poursuivre l’exploitation des salariés tout en contenant leur mécontentement.

L’extrême-droite représente une solution pour lui car l’autoritarisme dont elle ne manquera pas de faire preuve encore plus violemment que Macron permettra de faire passer de nouveaux reculs sociaux.

Interpeller les employeurs dans toutes les entreprises, arracher des avancées salariales ou autres, c’est une manière de fragiliser cette stratégie du patronat, tout en apportant des réponses efficaces aux mécontentements des salariés.

Obtenir que nos vies changent pour le meilleur, ce n’est pas seulement un slogan. Cela doit s’inscrire dans notre militantisme ces prochaines semaines.

Nos syndicats CGT de proximité en sont le pilier principal.

Le CCN appelle donc les syndicats et syndiqués à multiplier les initiatives revendicatives et les grèves pour obtenir satisfaction sur les exigences sociales que nous portons dans les entreprises et au niveau national.

 

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Après le choc des européennes les exigences sociales doivent être entendues !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 11 juin 2024

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Après le choc des européennes les exigences sociales doivent être entendues !

Après le choc des européennes les exigences sociales doivent être entendues ! dans CGT UPM Chapelle Darblay trans

Appel commun CFDT – CGT – Unsa – FSU – Solidaires

 Capture d’écran 2024-06-11 175235

Les organisations syndicales alertent depuis des années sur la crise sociale et démocratique qui traverse notre pays.

Une politique qui tourne le dos au social et qui crée déclassement :

  • abandon de nos industries et de nos services publics,
  • le passage en force contre la mobilisation historique contre la réforme des retraites,
  • l’absence de perspectives de progrès et la banalisation des thèses racistes

constituent le terreau sur lequel l’extrême droite prospère.

En décidant de dissoudre l’Assemblée nationale, et d’organiser des élections législatives en trois semaines, après les premiers départs en vacances et à la veille des Jeux Olympiques, le président de la République prend une lourde responsabilité.

*

Il faut un sursaut démocratique et social. À défaut, l’extrême droite arrivera au pouvoir.

Nous l’avons vue à l’œuvre dans l’histoire et aujourd’hui en Italie ou en Argentine par exemple :

  • austérité pour les salaires et les services publics,
  • réformes constitutionnelles remettant en cause l’indépendance de la justice et le rôle des syndicats,
  • attaques contre les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+,
  • remise en cause du droit à l’IVG,
  • politiques racistes qui mettent en opposition les travailleuses et les travailleurs en fonction de leur religion, de leur couleur ou de leur nationalité.

Nous connaissons ses votes en France comme en Europe, ils sont toujours défavorables aux travailleuses et aux travailleurs.

*

Notre République et notre démocratie sont en danger

*

Il faut répondre à l’urgence sociale et environnementale et entendre les aspirations des travailleuses et des travailleurs et notamment :

  • Augmenter les salaires et les pensions ;
  • Revenir sur la réforme des retraites et sur celles de l’assurance chômage ;
  • Défendre nos services publics et en garantir l’accès à toutes et tous sans condition de nationalité et sur tout le territoire. Notre école, notre recherche, notre système de santé, de prise en charge de la dépendance, notre système de justice sont asphyxiés et ont besoin d’investissements massifs ;
  • Mettre fin à la verticalité du pouvoir en commençant par restaurer la démocratie sociale à tous les niveaux, entreprise, branche, territoire et interprofessionnel ;
  • Mettre en place des mesures de justice fiscale et notamment taxer les super profits, dividendes et rachats d’actions ;
  • Instaurer enfin l’égalité salariale et éradiquer les violences sexistes et sexuelles ;
  • Instaurer le droit à la régularisation pour tous les travailleurs et travailleuses étranger·es sur la base d’un certificat de travail ;
  • Relocaliser et transformer notre industrie pour répondre aux besoins sociaux en environnementaux en la protégeant du dumping social, fiscal et environnemental ;
  • Créer de nouveaux droits pour permettre aux travailleuses et aux travailleurs d’anticiper les transformations environnementales et de sécuriser leur emploi ;

Dans l’immédiat, nous appelons le président de la République à la cohérence

L’Assemblée nationale est dissoute, les réformes doivent donc être interrompues étant donné qu’il n’y a plus aucun contrôle démocratique. Le gouvernement doit en particulier immédiatement renoncer à sa réforme de l’assurance chômage.

Nous appelons à manifester le plus largement possible ce week-end 15 et 16 juin

pour porter la nécessité d’alternatives de progrès pour le monde du travail.

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Face à l’extrême droite, le front populaire !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 10 juin 2024

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Face à l’extrême droite, le front populaire !

L’abstention et l’extrême droite ont atteint un record lors des élections européennes de ce 9 juin.

Cette tendance est à l’œuvre dans toute l’Europe mais la France est le pays dans lequel les listes d’extrême droite font le score le plus élevé et progressent le plus.Face à l'extreme droite - front populaire

C’est avec une énorme colère que la CGT accueille ces résultats alors qu’elle alerte, en vain, depuis des années. Emmanuel Macron en porte la première responsabilité.

Il n’a cessé de banaliser le Rassemblement National, en reprenant ses thèses, et mène avec le patronat une politique sociale violente qui accrédite l’idée que la seule alternative serait l’extrême droite.

En décidant d’organiser des élections législatives en trois semaines à la veille des Jeux Olympiques et après les premiers départs en vacances, le président de la République joue, encore une fois, avec le feu, en faisant primer de petits calculs politiciens.

Nous ne le laisserons pas faire. Ni recul social, ni banalisation du racisme et de la xénophobie. Forte de son histoire, la CGT prend toutes ses responsabilités pour empêcher qu’à nouveau les travailleuses et les travailleurs ne soient enfermés dans une fausse alternative entre l’extrême droite et le néolibéralisme, dont les forces de l’argent seraient les plus grandes gagnantes.

Les résultats du 9 juin le démontrent. Sans sursaut immédiat, l’extrême droite arrivera au pouvoir. Notre République et notre démocratie sont en danger. Pour empêcher la catastrophe organisée par Emmanuel Macron et Marine Le Pen d’advenir, l’unité de la gauche est indispensable.

Pour battre l’extrême droite, le monde du travail a besoin d’espoir et de perspectives en rupture avec la politique d’Emmanuel Macron.

Il faut répondre à l’urgence sociale et environnementale, avec des propositions fortes pour augmenter les salaires et les pensions, défendre notre industrie et nos services publics et gagner le droit à la retraite à 60 ans.Face à l'extreme droite - front populaire

Un débat en profondeur doit être mené pour que les leçons soient vraiment tirées pour bâtir une alternative durable.

Quant au gouvernement, il doit immédiatement renoncer à sa réforme de l’assurance chômage et à toutes les contre-réformes en cours et notamment la réforme de la fonction publique.

La CGT appelle le monde du travail à se syndiquer, à s’organiser, à participer à toutes les initiatives de mobilisation contre l’extrême droite et contre la politique d’Emmanuel Macron, en commençant par l’appel des organisations de jeunesse à se rassembler dès ce lundi soir.

La CGT appelle tous les travailleuses et travailleurs à prendre d’ores et déjà leurs dispositions pour pouvoir voter les 30 juin et 7 juillet prochains.

Attachée à l’unité des salariés, la CGT échangera, ce soir, avec les autres organisations syndicales sur les possibilités d’actions communes et examinera toute proposition d’action unitaire.

Montreuil, le 10 juin 2024Face à l'extreme droite - front populaire

 

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Appel de l’UCR-CGT. Pour la paix, le progrès social et les libertés démocratiques fondamentales.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 6 juin 2024

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Appel de l’UCR-CGT. Pour la paix, le progrès social

et les libertés démocratiques fondamentales.

Capture d’écran 2024-06-06 113859

Capture d’écran 2024-06-06 113953

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