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Le papetier thaïlandais Double A

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 décembre 2013

ipEure. Le papetier thaïlandais Double A rachète l’usine

de pâte à papier d’Alizay

Le groupe thaïlandais Double A qui avait fait l’acquisition en janvier dernier de la papeterie d’Alizay dans l’Eure (ex-M-Real) a finalisé mardi 17 décembre le rachat auprès du département de l’Eure de l’usine de pâte à papier ainsi que de la centrale biomasse qui jouxtent le site.

Racheté en début d’année par la collectivité au Finlandais M-Real pour un montant total de 22,2 millions d’euros, le site avait été scindé en deux lots distincts : Double A c’était dans un premier temps porté acquéreur de la papeterie pour 18 millions d’euros, le département restant propriétaire de 50 ha de terrains actifs comprenant notamment l’usine de pâte à papier. Le 17 décembre, le groupe papetier a confirmé être tombé d’accord avec la collectivité pour finaliser rapidement l’acquisition du lot restant avec l’objectif d’un redémarrage de l’usine à papier au premier semestre 2015. L’opération devrait également s’accompagner d’investissement dans la centrale biomasse présente sur le site qui doit permettre à terme de recycler des résidus du processus de fabrication de pâte à papier.

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« Nous devons convaincre les salariés tentés par le FN »

Posté par cgtchapelledarblayupm le 1 décembre 2013

                   « Nous devons convaincre les salariés tentés par le FN »

« Que six organisations syndicales et de jeunesse se mettent ensemble signifie vraiment que nous mesurons aujourd’hui le danger. Car, même dans les entreprises où la CGT est organisée, on sent bien qu’il y a une écoute plus attentive des salariés par rapport aux thèses de l’extrême droite, de Marine Le Pen et du mouvement qu’elle dirige.ud 1

Cela nous renvoie à nos responsabilités de première organisation syndicale du pays, sans parler, bien évidemment, de l’histoire de notre syndicat face aux mouvements fascistes et d’extrême droite. L’urgence du moment est bien de créer les conditions du débat avec les salariés et nous devons mettre le coup d’accélérateur pour outiller nos militants syndicaux dans les entreprises et les structures interprofessionnelles pour qu’ils aillent vers ce débat.

La journée du 29 est une étape, un lancement à portée nationale. On le déclinera, dans les mois qui suivent, dans les départements.  Cette initiative intersyndicale n’est pas une campagne de quelques semaines, et c’est important que les
organisations de jeunesse soient dans la boucle. De plus, les syndicats qui n’appellent pas au meeting du 29 janvier n’acceptent pas pour autant la situation. Il y a des possibilités de travailler ensemble, dans l’avenir, sur d’autres initiatives.

Cette journée du 29 janvier a pour but de mettre en commun nos analyses et de trouver des actions concrètes sur le terrain
pour convaincre les salariés tentés par les sirènes du Front national.
Nous sommes dans une période où les questions sociales et économiques pèsent très lourdement dans la tête des salariés. Le syndicalisme français est présent, structuré, implanté dans de très nombreuses entreprises et largement écouté. Ce qui,
encore une fois, veut dire que nous avons une vraie responsabilité.

Aujourd’hui, nous nous heurtons au ras le- bol, à l’appauvrissement de la population en général, aux plans sociaux qui se succèdent avec le Medef aux manettes. Mille emplois supprimés chaque jour, ce n’est pas anodin. Donc, même si le débat n’est pas facile, il faut y aller. Car, si le projet du Front national est aujourd’hui écouté, c’est aussi qu’il y a une absence de réponses de la gauche en général. Pourtant, la situation est sérieuse. »

■ Pascal Debay, membre du bureau confédéral de laCGT. 

Propos recueillis par M. d’A. 

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Négociation service Production.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 24 novembre 2013

Négociation service Production, le 21 novembre 2013.

 Fin des négociations ? Le bout du chemin…

 La réunion commence par une présentation des avancées dans tous les services et l’annonce des ultimes propositions. Ce qui, pour nous, laisse présager des négociations difficiles pour la Production. Reste-t-il quelque chose à distribuer pour améliorer le sort des salariés du service ?

 Après plusieurs heures d’âpres discussions et même si toutes nos revendications  n’aboutissent pas, la Direction accepte de revoir la constitution de l’équipe polyvalente en profondeur en rajoutant 2 postes et en redéfinissant l’ensemble de ces postes. Elle confirme le nombre des remplaçants de ligne qui passe de 6 à 7 par équipe.

 Constitution d’une équipe polyvalente composée de 13 personnes pour pallier aux différentes absences et tâches diverses déjà détaillées auparavant, plus 2 personnes, le coordinateur et l’assistante administrative de production.

 2 postes resteront à la journée toute l’année, le poste labo et le poste produits chimiques.

 4 postes seront à la journée, en soutien aux 3 responsables de prod ; ils passeront en quart pendant les 7×2 et si absentéisme trop important.

 7 postes pour les remplacements en bout de filière, tenus par des volontaires et derniers embauchés.

 La Direction procéderait à la suppression d’un de ces postes après investissement sur les Bobineuses PM3 et sur les installations d’évacuation des déchets DIP3 (DTR).

 Concernant les bobineuses, la Direction veut passer à 4 bobineurs sur certaines laizes et diamètres et entend la CGT sur le renfort nécessaire lors des petits diamètres destinés à la grande exportation.

 Les remplacements se feront par la filière habituelle, les polyvalents prenant le poste en bout de machine. Les promotions se feront de la même manière.

 Nous rappelons, ici, que le poste de polyvalent n’est pas un poste de jour, ce qui justifie le maintien du salaire et du statut 5×8.

 Pour l’ensemble des salariés de la Prod, la pose des congés, reste à négocier, avec une égalité pour tous.

 Très important, comme pour les autres secteurs, il n’y aura pas de perte de ressources (acquis de la lutte de 1983 et des accords de maintien de ressources).

 Le projet de restructuration de l’infirmerie a bien failli faire capoter la négociation, face à notre mécontentement et notre indignation.

 C’est le Directeur, en personne, qui a proposé une autre organisation, s’appuyant sur notre proposition d’un vrai service Sécurité.

 Il propose, en effet, la création d’un poste « d’agent de sécurité », rattaché à la coordinatrice sécurité, qui, elle-même rapporterait directement au Directeur. Ce qui déclencherait une embauche en maintenance.

 Il y aurait alors une infirmière à la journée et un agent pour remplir les tâches sécurité (réseau incendie, extincteurs, formations, etc..) et faire le relais avec les secours extérieurs. Le directeur propose une négociation avec les services concernés et une date butoir au 30 juin 2014. En cas d’échec, on resterait dans la situation actuelle.

 Nous proposons des assemblées pour l’ensemble de la production le 25 novembre de 10 h à 12h  et de 14h à 16h et le 28 novembre de 14h à 16h

 Pour rappel nous proposons également des assemblées au personnel de la logistique le mardi 26 novembre de 10h à 12h et de 14h à 16h.

 Pour les autres secteurs, même après discussions,

ci-après la proposition ultime de l’employeur.

Pour toutes et tous : maintien des ressources et avantages liés au statut ex. journée DTAM.

 Pour l’administration : création de deux postes et modification du gardiennage en 2×8.

 Pour la maintenance : maintien des horaires 8h/jour, modification semaine astreinte avec journée de 7h, fin du samedi travaillé.

 Centrale énergie : création d’un poste et révision de la règle des congés pour équité entre tous.  

Votre avis nous intéresse

 En conclusion, Le PSE va entraîner le départ d’un certain nombre de personnes qui vont refuser la modification de leur contrat de travail, faire valoir le droit à leur retraite ou démissionner, ce qui va permettre à la direction de proposer un poste de reclassement à toutes et tous. Nous sommes même convaincus qu’en début  2014, des embauches en CDI seront nécessaires !

 Sans prévaloir de votre position, la détermination et le sérieux de l’organisation CGT aura déjà permis d’amoindrir l’ampleur de cette nouvelle restructuration. 

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Stora Enso Corbehem: une longue attente …..

Posté par cgtchapelledarblayupm le 19 octobre 2013

Stora Enso Corbehem: une longue attente pèse sur le moral des salariés… mais jusqu’à quand?

Jeudi, une délégation composée d’élus locaux et de membres de l’intersyndicale de Stora Enso Corbehem a pris le départ pour Helsinki, en Finlande. Elle est allée chercher auprès du PDG du groupe papetier Stora Enso une seule information : quel est l’avenir de la papeterie de Corbehem ?

Stora Enso Corbehem: une longue attente ..... dans Autres papeteries CGT stora-300x163Une réunion d’une heure et demie résumée en moins de dix phrases. « C’est ça le compte rendu », raconte un membre de l’intersyndicale, dubitatif. Longs murmures dans la salle du Châtelet, à Brebières, où avait lieu hier une assemblée générale des salariés de Stora Enso Corbehem. Il a fallu sans doute encaisser le coup, après avoir entendu ce qui n’est rien d’autre qu’une banalité : les participants à la réunion, dont deux élus locaux français (Pierre Georget, la président d’Osartis et le député Jean-Jacques Cottel), quatre salariés, et trois membres du staff de Stora Enso (dont le PDG Jouko Karvinen, « ont reconnu l’importance des difficultés rencontrées par Stora Enso Corbehem », et espèrent « trouver une solution positive et durable ». Stora Enso accompagnerait cette solution « positive et durable », et « toutes les parties coopéreront sur le sujet ». Une décision serait prise pour la fin de l’année 2013. Laquelle ?

Un syndicaliste se perd en conjectures : « Pour l’instant, tout est en cours. On (Stora Enso) ne communique pas. Ils savent qu’il y a un problème à Corbehem. » Micro en main, il n’en sait pas davantage que la centaine de salariés en face de lui, et c’est bien cette absence d’information qui pourrit le moral des papetiers. Ça fait un an que ça dure, depuis l’annonce, à l’automne 2012, de l’étude de l’opportunité de vendre Corbehem, ou pas. La seule avancée, en un an, c’est la certitude acquise que Stora Enso voulait vendre. Et puis plus rien. « Après la réunion de comité d’entreprise, on devait avoir une annonce au bout de quelques semaines. Maintenant, on doit attendre la fin d’année. Le 22 octobre, Stora Enso annonce ses résultats trimestriels, mais on ne saura rien », râle un autre syndicaliste, en aparté. Difficile, voire impossible, dans ces cas-là, d’établir une quelconque stratégie de défense des salariés, malgré la supplique d’un syndicaliste : « pas d’action isolée, on avance ensemble. » Pour faire quoi ? L’intersyndicale est venue chercher, à Brebières, les suggestions de salariés. Elle a surtout été confrontée à du désespoir. L’attente et les silences semblent bien trop lourds à supporter. Les témoignages convergent : « des gens ne sont pas bien. On est en situation plus que critique. » Un autre salarié : « La situation, ça fait un an qu’on la vit. On sait ce qui va se passer. » Un autre prédit : « Quoi qu’il arrive, il y aura des licenciements. Si on est repris, il ne faut pas crier victoire, il y aura des licenciements et il faudra se battre. »

En marge de l’assemblée générale, un syndicaliste se prend une gifle dans la figure, façon de parler : « des gens sont tellement mal qu’on aura des pendus. » Un homme en colère parle des « suicidaires », un autre dit en deux mots qu’il est déjà allé à l’hôpital… Il est assis à quelques mètres d’un homme, appuyé sur le mur, qui préfère hurler, et parler des actions coup de poing menées chez Goossens, à Marcq-en-Barœul : « Je vais faire pareil, je n’ai plus rien à perdre, j’en ai plus rien à foutre ! »

Pour l’intersyndicale, le mauvais moral des salariés est pris très au sérieux. Le cabinet Cecafi, qui avait été mandaté lors du droit d’alerte, a de nouveau été sollicité pour étudier les risques psychosociaux dans l’entreprise, au travers d’un dossier en quatre-vingt-dix-sept questions, remis à chaque salarié. Le rapport a été présenté hier après-midi en réunion de CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail). « On va voir quelles mesures on peut mettre en œuvre », signale un syndicaliste. Dans la droite ligne de cette question des risques psychosociaux, une idée semble recueillir quelques suffrages : « Depuis un an, c’est du harcèlement qu’on nous fait. Avec les lois françaises, vous ne croyez pas qu’on pourrait porter plainte ? » L’idée devrait faire son chemin. Tout comme celle de soutenir en masse la délégation qui pourrait être reçue au conseil régional, à Lille.

La colère se manifeste à tous les étages : un homme quitte la salle, déçu par une mobilisation qu’il estime faiblarde. « Trois pelés un tondu ! », dit-il en se dirigeant vers la sortie. « On te sort les mêmes conneries qu’en 2006 (année d’une restructuration qui a vu la fermeture de deux machines à papier, et la suppression de 400 postes). On a fait grève et on nous dit qu’il y a des commandes. On nous dit qu’il y a un repreneur, qu’il faut se remettre au travail, faire tourner la machine. On a toujours assuré notre travail. On ne doit pas emmerder Stora Corbehem, mais les emmerder là-haut ! » Certains assurent que certaines commandes qui ne pourraient pas être assurées par l’usine de Corbehem seraient transférées vers une usine d’Allemagne. D’autres vivent la situation comme un piège qui se referme. « On est une grenouille dans de l’eau tiède. L’eau continue de chauffer et la grenouille finit par cuire… » illustre un salarié, encore contraint à l’attente.                

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UPM Docelles – La papeterie en grève ! le 14 juin

Posté par cgtchapelledarblayupm le 21 juin 2013

UPM Docelles – La papeterie en grève ! le 14 juin

B.Boulay 15 juin 2013 0

UPM Docelles – La papeterie en grève !

Usine bloquée toute la journée et la nuit jusqu’à 4h demain matin, les salariés en ont assez ! Le groupe a prélevé 300T sur leur stock de pâte à papier pour une autre usine en Allemagne, alors que UPM est obligée de refuser des commandes. Trop c’est trop ! Les UPM n’en peuvent plus et la grève est unanime.

Les salariés sont dans l’incertitude depuis 6 mois, mais la goutte qui fait déborder le vase, c’est l’annonce mercredi, par la Direction, d’un prélèvement de 300 Tonnes sur le quota limité de pâte à papier d’UPM, pour une usine en Allemagne.

300T de pâte à papier en moins !

« Le groupe vient d’avoir un nouveau marché en Australie, explique Emmanuel Kohler, secrétaire du Comité d’entreprise, et pour y répondre, il prélève de la pâte à papier sur notre stock pour faire fabriquer ce papier recyclé à forte valeur ajoutée par une usine d’Allemagne. »

La fabrication n’a pas été confiée à UPM Docelles, parce qu’elle fournit en principe les marchés européens, et c’est l’Allemagne qui fournit le reste du monde.

Usine bloquée

Assommés par ce nouveau coup, les salariés réagissent. C’est la grève ! Aujourd’hui vendredi, l’usine est complètement bloquée, pour toute la journée jusqu’à 4h du matin. Tous les arrivages et départs sont bloqués. La machine est arrêtée. C’est 450 Tonnes de papier qui ne seront pas fabriquées  aujourd’hui !

« Toute l’équipe du matin était en grève, l’équipe de l’après-midi aussi. Seuls, 2 ouvriers de la maintenance  n’ont pas suivi le mouvement », constate Emmanuel Kohler.

35 camions en attente

Sébastien Saget, délégué CGT, est allé voir sur place l’usine Greenfield à Château-Thierry, qui fabrique pour UPM, la pâte à papier de qualité et agréée, avec une délégation de salariés. Une manière de protester contre cette décision de la direction et de la faire savoir.  « Ils ont été très bien reçus, commente Emmanuel Kohler en contact téléphonique avec Sébastien Saget. Mais ils ne pouvaient pas faire grand chose ».

Des commandes devaient être traitées aujourd’hui. Il était prévu 35 camions à charger pour une livraison lundi. Les camions arrivent et repartent avec leur cargaison.

Un transfert de commandes détourné

Le maire, Christian Tarantola est passé à l’usine. Il compte sur la force politique pour faire pression sur le groupe.

« Le groupe nous a garanti qu’ils ne feraient pas de transfert de commandes d’un site à l’autre, mais il le fait autrement en jouant sur la matière première. C’est vicieux. », commente encore Emmanuel Kohler.

La grève sera arrêtée demain matin vers 4h, avec la possibilité de reprendre la semaine prochaine.

Jean-Marc Louvet, directeur UPM France n’a pas pu être joint.

 

 
Personnel en grèveIl devra repartir avec sa marchandiseCamion bloquéUPM 61Greenfield à Château-Thierry
Personnel en grève - Il devra repartir avec sa marchandise - Camion bloqué – Greenfield à Château-Thierry

 

UPM 81Personnel en grève
 
Personnel en grève

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Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr) mercredi 19 juin 2013

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 juin 2013

Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr)

mercredi 19 juin 2013

La suite du mouvement entamé ce mercredi a été votée par une courte majorité. Aux Papeteries de Condat, au Lardin-Saint-Lazare (24), alors que les négociations du plan social (qui prévoit 139 licenciements) sont terminées, la production était en grève ce mercredi matin et une assemblée générale s’est tenue en début d’après-midi pour décider de la poursuite du mouvement. La grève a été reconduite par une courte majorité des votants (devant presque autant d’abstentions).

Deux syndicats, deux positions

Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr) mercredi 19 juin 2013 dans Autres papeteries CGT condat1-300x224Devant 80 salariés (principalement de la ligne 6 menacée de fermeture), Patricia Canto (FO) s’est fait plutôt l’écho de ceux qui ne pensent pas poursuivre, disant que le travail des syndicats est « d’être vigilants sur la pérennité de l’entreprise ».

Guy Bretout, de la CGT, a quant à lui martelé : « Si on ne se bat pas, on a perdu d’avance. Il n’y aura pas de modification de la position de la direction, ni des pouvoirs publics s’il n’y a pas maintien du mouvement. »

Des différences d’interprétation qui sont évidentes chez les salariés, tiraillés entre volonté de lutter et découragement. Les plus jeunes se sentent déjà condamnés (« Dans deux mois je suis au chômage »), et les plus anciens ont peur pour l’avenir du site.

Beaucoup ont aussi regretté que le mouvement de grève n’ait pas été décidé plus tôt. Cependant après discussion, il a été décidé que les grévistes iraient bloquer l’entrée de l’entreprise pendant que les délégués syndicaux demanderaient un rendez-vous pour une reprise des négociations avec la direction.

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Stora Enso annonce 2 500 suppressions d’emplois dans le monde

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 juin 2013

Stora Enso annonce 2 500 suppressions d’emplois dans le mondeStora Enso annonce 2 500 suppressions d'emplois dans le monde dans Autres papeteries CGT stora

Stora Enso a annoncé qu’il allait supprimer 2 500 emplois, majoritairement en Finlande et en Suède afin de répondre à la « faiblesse de l’économie européenne » et à « la mauvaise rentabilité » de la compagnie. Le papetier finlandais avait déjà annoncé un plan de restructuration qui prévoit notamment la vente ou la fermeture de son usine de Corbehem dans le Pas-de-Calais.

Le papetier finlandais Stora Enso a annoncé mardi qu’il allait supprimer 2.500 emplois, majoritairement en Finlande et en Suède afin de répondre à la « faiblesse de l’économie européenne » et à « la mauvaise rentabilité » de la compagnie.

Avec 750 suppressions prévues, la Suède est ainsi le pays le plus touché, suivi par la Finlande où 650 postes devraient disparaître. Dans le reste de l’Europe, Stora Enso va supprimer au total 850 emplois et 250 hors d’Europe.

 Ces réductions d’effectifs interviennent dans le cadre du plan de restructuration du groupe annoncé fin avril.Le groupe avait alors annoncé que l’organisation de l’entreprise allait être revue avec la fusion des secteurs forestier et papier, les secteurs des biomatériels et des emballages demeurant indépendants.

« La demande dans les médias imprimés en Europe continue à diminuer de manière structurelle pour la septième année consécutive », avait noté fin avril le PDG du groupe, Jouko Karvinen, défendant une réduction des coûts fixes à hauteur de 200 millions d’euros d’ici le deuxième trimestre 2014.

Plus récemment, en octobre 2012, le groupe finlandais Stora Enso avait déjà annoncé vouloir fermer ou céder trois de ses usines en Europe, dont une en France. Parmi les sites touchés figure l’usine de Corbehem, dans le Pas-de-Calais, qui produit du papier magazine et emploie environ 350 personnes.

 

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Vosges – grève de 24h aux papeteries de Docelles

Posté par cgtchapelledarblayupm le 15 juin 2013

Vosges – grève de 24h aux papeteries de Docelles

Les salariés de l’usine légendaire reprochent la décision du groupe UPM consistant à réduire l’approvisionnement en matière première de 300 tonnes sur les 2000 qui sont livrées chaque mois sur le site de Docelles. Ils réclament donc des explications

L’information est tombée lors d’une réunion informelle mercredi. Le groupe annonce ne pas avoir d’autre choix que de réduire l’approvisionnement de l’usine en pâte à papier. La cause : le transfert de cette pâte sur un autre site…
« Nous n’avons qu’un seul fournisseur, installé  à Château Thierry » explique Emmanuel Kohler (secrétaire du CE). « Et il ne lui est pas possible de livrer davantage de pâte à papier ! » ajoute t’il.
Or, un nouveau marché est apparu, et la direction a accepté d’y répondre en utilisant une partie du quota affecté à Docelles.

Le personnel s’est donc mis en grève vendredi 14 juin, et l’usine est restée fermée. Aucune livraison, ni sortie de production…
L’activité doit reprendre samedi 15 juin à partir de 4h.En début de semaine prochaine, le personnel doit redemander aux responsables du groupe de plus amples explications…et n’excluent pas de reprendre le mouvement.

Une usine en sursis

A la mi janvier 2013, le groupe avait annoncé soudainement sa décision de vendre l’usine de Docelles dans les 6 mois à venir.
L’échéance est fixée au 17 juillet prochain. Il a mandaté le cabinet Ernst et Young pour trouver un repreneur.
Trois potentiels auraient été trouvés : « des financiers » précise Emmanuel Kohler, qui redoute « le fait qu’ils ne disposent probablement pas d’un service commercial, à la différence d’un industriel« .
Pour sa part, le conseil général des Vosges a lui aussi recherché des candidats potentiels. « Deux ont manifesté leur intérêt pour l’usine de Docelles, ce qui est plutôt encourageant » précise le maire de Docelles, Christian Tarantola.
L’un de ces deux prospects serait aussi un financier, tandis que l’autre serait un industriel… « Peut être même un papetier » ajoute Emmanuel Kohler.

                                                   Nul doute que ces 30 prochains jours vont être décisifs. 

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Que deviendraient vos emplois, votre commerce, vos villages ……

Posté par cgtchapelledarblayupm le 13 juin 2013

 

Que deviendraient vos emplois, votre commerce, vos villages ...... dans Autres papeteries CGT cgt-116x150cgc-139x150 dans Autres papeteries CGTcfdt-117x150fo-150x150

Que deviendraient vos emplois, votre commerce, vos villages si Gascogne disparaissait… ???

 Le groupe Gascogne, premier employeur industriel des Landes, est confronté à la plus grave crise financière jamais connue.

 Depuis février 2012, le groupe Gascogne est  géré par un administrateur judiciaire, mandaté par le tribunal de commerce de Dax, depuis  juillet 2012 le Ministère du Redressement productif  est en charge du « dossier »  Gascogne.

Depuis plus d’un an, nous sommes à la merci  des résultats des négociations avec nos banquiers. Par trois fois le  groupe Gascogne a évité le dépôt de bilan,un accord a été obtenu in extremis fin avril prolongeant la survie du groupe jusqu’à fin septembre 2013.

A ce jour, nous sommes toujours à la recherche d’un partenaire/ repreneur, des discussions sont en cours mais rien n’est fait pour l’instant.

Le groupe Gascogne est viable

 Force de propositions, aidés par nos experts et les consultants de la SECAFI, nous avons combattu la stratégie édictée par les banquiers. Ces derniers,  obsédés par le remboursement de la dette, prévoyaient la vente de la branche complexe portant un investissement majeur sur le site de Dax (Sopal). La pérennité et l’avenir du Groupe ne semblent pas relever des préoccupations des banques…

Depuis plus d’un an l’intersyndicale du Groupe (CGT, CGC, FO, CFDT) n’a cessé de s’activer à défendre l’intérêt de tous les  salariés, provoquant des rencontres auprès de la direction générale, de l’actionnaire de référence (EEM), des représentants de l’Etat et des élus locaux régionaux et nationaux.

 Conscient que le chemin sera encore long et que rien n’est encore réglé pour l’avenir à court et moyen terme, nous sommes et serons toujours déterminés à nous faire entendre pour participer à la construction d’un projet industriel ambitieux et pérenne.

D’autant qu’il existe d’autres solutions pour peu que les banquiers acceptent d’être socialement responsables et abandonnent leur logique financière destructrice, et que les pouvoirs publics leur imposent une réelle stratégie industrielle, économique et sociale.

 LE GOLFE DE GASCOGNE, MIMIZAN ET SA REGION NE SONT PAS A L’ABRI D’UN TSUNAMI !!!

La vague des licenciements pourrait emporter toute une région dans les mois à venir. Le Groupe Gascogne est dans le rouge financièrement malgré un savoir-faire et ses carnets de commandes d’un bon niveau. Les plus grandes banques Françaises après s’être enrichies par la spéculation sur le dos des travailleurs, serrent la vis et obligent le Groupe à baisser sa voilure avec une issue incontournable, restructuration, pertes d’emplois et autodestruction du commerce local. Si vous souhaitez continuer avec nous cette épopée bientôt centenaire, vivre à Mimizan (sans oublier nos collègues d’Escource, Castets, Saint Symphorien, Dax etc…) avec ses usines et ses emplois directs et indirects, alors apportez-nous votre soutien le   Jeudi 20 juin 2013  à 15 h devant la Chambre de Commerce et de l’Industrie à Mont-de-Marsan.

 Un transport en commun (bus) sera organisé au départ du parking de la Mairie à 12h 30, nous vous demandons de vous inscrire pour la gestion du transport au 05.58.09.92.47 (laisser vos coordonnées)

 

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CE exceptionnel StoraEnso Corbehem

Posté par cgtchapelledarblayupm le 13 juin 2013

 

CE exceptionnel StoraEnso   Corbehem dans Autres papeteries CGT siteon0c707dStoraEnso   Corbehem

UN POUR TOUS ET TOUT POUR RIEN

 

Ce jour s’est tenu un CE exceptionnel au cours duquel nous n’avons obtenu aucune nouvelle réponse.

 Le peu de réponses données par Monsieur Munoz et le cabinet Oneida nous confortent sur ce que nous annoncions dès le mois d’octobre.

 A savoir :

-Le sort des salariés de Corbehem dépend de la stratégie du groupe Stora Enso qui ne veut surtout pas la dévoiler pour l’instant (le bateau navigue à vue, sans capitaine et dans le brouillard).

-Dans la conjoncture actuelle, quel repreneur potentiel serait capable de garantir un carnet de commandes rempli et de vendre les 330 000 tonnes par an que la MP5 doit être capable de produire ? ? ? ?

-Quelle sera la sentence du groupe s’il n’y a pas de repreneur ?

-Si nous restons Stora Enso, le couperet de Bain Consulting tombera-t-il sur Corbehem ?

 Nous remercions les forces de l’ordre pour être venues si nombreuses au rond-point ainsi que les médias…

 

Ceci ne remet pas en cause l’intersyndicale STORA-ENSO pour la défense de l’emploi

 

L’équipe CGT

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