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L’État a cinq mois pour sauver Chapelle Darblay

Posté par cgtchapelledarblayupm le 26 décembre 2024

*OIP

L’État a cinq mois pour sauver

Chapelle Darblay

Le gouvernement avait jusqu’au 20 décembre pour soutenir financièrement le projet de réindustrialisation de la papeterie, après s’y être engagé en 2022. Le repreneur, Fibre Excellence, a annoncé laisser un délai à l’exécutif pour se positionner.

L e dossier est passé entre les mains des gouvernements successifs en restant au point mort, jusqu’à arriver sur le bureau du premier ministre, François Bayrou, et du fraîchement nommé ministre de l’Économie, Éric Lombard, et de son ministre délégué à l’Industrie, Marc Ferracci. La relance du site de la célèbre papeterie Chapelle Darblay, à Grand-Couronne (Seine-Maritime), à l’arrêt depuis quatre ans, est toujours suspendue aux 27 millions d’euros que le gouvernement Castex s’était engagé à prêter… en 2022, mais dont on n’a jamais vu la couleur.
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Le repreneur canadien, Fibre excellence, en consortium avec Veolia, avait laissé à l’État jusqu’au 20 décembre pour honorer sa promesse, auquel cas il se retirait et repartait avec les 245 millions d’euros qu’il doit investir. Vendredi, Bercy a annoncé un sursis de cinq mois, au vu du contexte politique.
*
Après bientôt trois ans, malgré l’approbation des autorités administratives, le plan de financement n’est pas bouclé.« Il ne manque plus qu’un apport de l’État permettant d’atteindre un niveau de fonds propres suffisant pour lever la dette privée », indiquaient mardi 17 décembre, dans un courrier commun à François Bayrou, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, le maire de Rouen et président de la métropole Rouen-Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol (PS), et la maire de Grand-Couronne, Julie Lesage (PS).« Nous sommes deux années après la reprise et malheureusement les belles promesses, qui ont pourtant permis d’arriver jusqu’ici, sont passées à l’arrière-plan à travers la succession de ministres, de directeurs de cabinet et de délégués interministériels », estimaient-ils dans une précédente missive, mi-novembre.
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L’enjeu est de taille pour le nouvel exécutif. La papeterie représente l’exemple idéal de réindustrialisation en économie circulaire vantée par Emmanuel Macron lors de la crise du Covid, en produisant du papier 100 % recyclé à partir de 480 000 tonnes de déchets par an, l’équivalent de ce que rejettent 24 millions d’habitants. En prime, le projet de réindustrialisation de l’usine prévoit de renforcer sa chaudière biomasse, permettant de chauffer des milliers d’habitations alentour.
*
Voilà plus de cinq ans que les salariés de la papeterie se battent pour la réouverture de leur usine. Malgré le plan de sauvegarde de l’emploi signé le 14 février 2020,« une belle preuve d’amour »,ironisait alors Cyril Briffault, secrétaire du syndicat CGT de Chapelle Darblay, les Pap Chap (les salariés de la papeterie) se sont organisés. Manifestations, pétitions, occupation du parvis du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance à Paris. La réouverture de l’usine centenaire est devenue un projet commun entre syndicalistes et écologistes, dont Greenpeace et Attac, qui se sont unis à travers le collectif Plus jamais ça.

« Une catastrophe évitée »

Ainsi, alors que l’usine était d’abord vouée par son propriétaire, la multinationale finlandaise UPM, à être vendue pour être transformée en projet hydrogène, la métropole de Rouen a usé, in extremis, de son droit à la préemption en mai 2022.« Une première depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale »,assure Cyril Briffault. Soutenu par la CGT et des élus locaux de tous bords, un projet de conversion voit alors le jour, porté par le géant du déchet français Veolia et le leader de la production de pâte à papier marchande, qui assure la création de 185 emplois directs petit à petit, à partir de 2027. 
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« Pas un seul projet industriel de cette ampleur ne peut exister sans un accompagnement de l’État »,prévient la CGT, appelant le nouveau gouvernement à s’emparer du sujet de manière urgente.« Vendredi 20 décembre, l’État a répondu positivement aux conditions fixées par Fibre excellence, notamment sur l’urgence d’agir rapidement, commente Cyril Briffault.
Avec ce report on a évité une catastrophe. Maintenant il est nécessaire que l’État agisse vite, la Banque ­publique d’investissement n’est pas démissionnaire à ce que je sache, il suffit d’une signature. »Un signal clair de l’État est donc attendu prochainement sur l’avenir de ce fleuron de l’industrie française.
par  Léa darnay

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Le projet de réindustrialisation de la papeterie Chapelle-Darblay

Posté par cgtchapelledarblayupm le 23 décembre 2024

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Le projet de réindustrialisation de la papeterie Chapelle-Darblay,

près de Rouen, en sursis pour cinq mois

Alors que le repreneur, Fibre Excellence, menaçait de jeter l’éponge vendredi, en l’absence d’un engagement financier de l’Etat, le ministère de l’industrie a annoncé avoir obtenu un report de l’échéance de cinq mois.

Les défenseurs de la relance de la papeterie Chapelle-Darblay, à Grand-Couronne (Seine-Maritime), ont bien cru que la dernière heure de ce projet emblématique de réindustrialisation en économie circulaire avait sonné, vendredi 20 décembre. Après de multiples alertes, articles de presse, courriers au premier ministre et une semaine de négociations tendues, cinq mois de plus ont été obtenus in extremis pour boucler le financement. Qui nécessite, selon ses soutiens, un prêt garanti par l’Etat.

Voilà quatre ans déjà que la CGT et les élus locaux de tous bords sont mobilisés pour la survie de l’usine nonagénaire de production de papier journal et sa conversion à la production de papier d’emballage à base de papier carton recyclé, en plus de la refonte de sa chaudière biomasse. Et c’est avec leur soutien, mais aussi avec celui du gouvernement de Jean Castex, qu’en mai 2022 le géant des déchets Veolia et le canadien Fibre Excellence, leader de la production de pâte à papier marchande en France, ont repris le site – d’abord préempté par la Métropole Rouen-Normandie.

Mais depuis, alors que le projet a obtenu toutes les autorisations administratives, le plan de financement n’est pas bouclé. « Il ne manque plus qu’un apport de l’Etat permettant d’atteindre un niveau de fonds propres suffisant pour lever la dette privée », indiquaient, mardi 17 décembre, dans un courrier commun à François Bayrou la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, le maire de Rouen et président de la Métropole Rouen-Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol (Parti socialiste), et la maire de Grand-Couronne, Julie Lesage (PS). « L’Etat s’était beaucoup engagé par la voix de Jean Castex, mais depuis… C’est pourtant une histoire unique en France, et au vu de l’envergure du projet, un soutien public n’est pas déraisonnable », a précisé au Monde M. Mayer-Rossignol.

En plus des 24 millions d’euros déjà investis par les repreneurs pour le rachat du site et son maintien en état, il faut 70 millions d’euros de capital afin de pouvoir emprunter. Fibre Excellence mettrait 27 millions d’euros sur la table. Selon les options actuelles, l’Etat devrait s’engager sur un prêt de 27 millions ou 43 millions d’euros. Cependant, il n’a jusqu’ici formulé aucun engagement.

« La situation reste bloquée »

Il y a un an, Veolia, qui avait acquis le site auprès de la métropole, a laissé le leadership à Fibre Excellence. Le bail de location du site négocié par les deux entreprises arrivant à échéance ce vendredi 20 décembre, le PDG de l’entreprise canadienne avait donné cette date butoir à l’Etat pour qu’il s’engage.

C’était évidemment compter sans le contexte politique et la vacance de gouvernement. Mobilisé malgré tout, le cabinet du ministre délégué à l’industrie démissionnaire a indiqué, vendredi après-midi au Monde, qu’il avait obtenu le report de cinq mois de cette date. « Dès que le contexte politique le permettra, l’Etat fera ses meilleurs efforts pour aider à réunir le financement afin que le projet industriel se concrétise », précise la même source.

« C’est une chance que l’industriel ait accordé ce délai. Mais cela ne vaut toujours pas engagement de l’Etat. La situation reste bloquée, réagit Franck Perrin, membre de l’exécutif de la CGT. Nous allons continuer à mettre la pression pour que l’Etat prenne ses responsabilités. Je rappelle qu’on ne demande qu’un prêt garanti, pour permettre le démarrage d’un projet vertueux. »

par  Aline Leclerc

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La finalisation du projet Chapelle Darblay en cours …..

Posté par cgtchapelledarblayupm le 21 décembre 2024

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Chapelle-Darblay : le repreneur de la papeterie restera cinq mois de plus et l’Etat s’engage

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 décembre 2024

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Chapelle-Darblay : le repreneur de la papeterie

restera cinq mois de plus et l’Etat s’engage

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Fibre excellence, le repreneur de la papeterie Chapelle-Darblay de Grand-Couronne, s’engage à rester cinq mois supplémentaires, ce vendredi 20 décembre. L’État, en réponse, assure tout faire pour lui trouver les financements nécessaires.
Bientôt le dénouement du dossier industriel Chapelle-Darblay de Grand-Couronne (Seine-Maritime) ? C’est possible. Ce vendredi, le Canadien Fibre excellence, qui a repris la papeterie en 2022, a annoncé qu’il prolongeait son investissement dans l’usine pour cinq mois.

« L’État fera ses meilleurs efforts »

C’était presque inespéré puisque la date butoir était fixée au 20 décembre. Fibre excellence et Véolia, propriétaire du foncier, avait donné à l’État jusqu’à ce vendredi pour s’engager à leur côté, en leur accordant un prêt de plusieurs dizaines de millions d’euros.2

En réponse, en fin de journée vendredi, le gouvernement démissionnaire a donné des signaux positifs pour accompagner le producteur de pâte à papier. « L’État fera ses meilleurs efforts pour aider à réunir le financement pour que le projet industriel se concrétise« , indique à France bleu Normandie le ministère de l’Industrie.

Cet engagement intervient dans un contexte politique délicat. En effet, le gouvernement démissionnaire, qui ne peut gérer que les affaires courantes, ne peut pas pleinement engager la parole de l’État.

« J’espère sincèrement que Bercy a formulé sa réponse par écrit à Fibre excellence ! Les promesses nous ont emmenés dans l’urgence que l’on connaît actuellement« , peste Cyril Briffault, ancien représentant du personnel CGT. « 

Ce prolongement de cinq mois est évidemment positif, mais il faut que l’État se bouge« , presse le président PS de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol, engagé depuis le début dans la relance de cette papeterie rouennaise.

La pression jusqu’au ministère
Néanmoins, cette promesse de vouloir aider à réunir le financement nécessaire est un pas qui était attendu. Une réunion au ministère de l’Industrie s’est tenue le 17 décembre, en présence de représentants du ministère de l’Industrie, des repreneurs et d’élus locaux. La pression semble avoir fonctionné.

La papeterie de Grand-Couronne est à l’arrêt depuis juin 2020. 245 millions d’euros au total sont nécessaires pour relancer l’activité. C’est quelque 200 emplois directs et 800 emplois indirects qui sont en jeu.

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Lettre au premier Ministre pour que le gouvernement soutienne le projet pour redémarrer la Chapelle Darblay !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 décembre 2024

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On est au pied du mur, il faut agir !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 10 décembre 2024

 

 Rassemblement devant le théâtre

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des arts à rouen à 14 h 

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L’état sous pression pour sauver la Chapelle Darblay…..

Posté par cgtchapelledarblayupm le 5 décembre 2024

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Courrier à l’attention de Messieurs BARNIER ET FERRACCI / situation de Chapelle Darblay.

Posté par cgtchapelledarblayupm le 27 novembre 2024

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Chapelle Darblay, rencontre à Bercy et zéro avancée !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 22 novembre 2024

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Anthony Quindroit.

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Chapelle Darblay en attente « des garanties de l’État »

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 novembre 2024

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Chapelle Darblay en attente « des garanties de l’État »

 Alors que la relance du site industriel est au point mort, les représentants du personnel sont reçus au ministère de
l’Économie. Objectif : faire sauter le dernier verrou pour que le dossier, pourtant bien engagé, ne déraille pas.

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Où en est la relance du site de Chapelle Darblay à Grand-Couronne ? L’usine de production de papier journal recyclé, fermée en 2020 par UPM avait été sauvée grâce à un dispositif inédit en 2022 : la Métropole de Rouen avait préempté le site, pour le revendre ensuite à Véolia qui a ensuite revendu le foncier aux Canadiens de Fibre excellence (tout en se maintenant dans le dossier en tant que fournisseur de matière première).

En juin 2024, interrogé par Paris Normandie, Fibre excellence confirmait ses ambitions pour la relance.
Objectif 2027, après plus de 200 millions d’euros d’investissements. Lever les derniers freins Depuis… L’attente est longue. Trop longue, pour les trois « Pap Chap », Julien Sénécal, Cyril Briffault et Arnaud Dauxerre, les représentants du personnel qui ont mené la lutte pour sauver leur usine ; et qui ne ménagent
toujours pas leurs efforts pour faire avancer le dossier.

Ils sont ainsi reçus au ministère de l’Économie, mercredi, et espèrent bien rencontrer Marc Ferracci, ministre délégué en charge de l’Industrie. Le cégétiste Cyril Briffault est remonté : « L’autorisation préfectorale, nickel. L’enquête publique, nickel. On a les industriels Véolia et Fibre excellence qui sont prêts à investir et qui ont déjà
engagé des dépenses.

Tout le monde attend maintenant les garanties de l’État pour pouvoir lever les fonds ! » Un prêt de « 20 millions d’euros » qui permettrait de lever les derniers freins à la levée de fonds : « À Bercy, on va
chercher du bon sens, continue Cyril Briffault.

On nous a répété que cela prenait plus de temps parce qu’il y a eu des remaniements, la dissolution, les
difficultés pour former un gouvernement… Mais maintenant, il faut que ça avance. L’État distribue des millions à des groupes qui n’en ont pas forcément besoin. Là, pour un projet solide et pour un montant peu élevé au regard de l’enjeu, on espère qu’il sera là ! » Il souhaite repartir de Bercy avec du concret.
Et redoute, dans le cas contraire, un désengagement du groupe canadien : « Ce serait quand même dommage qu’il se sente rejeter en France alors qu’il porte un projet générateur d’emplois » , pointe Cyril Briffault.

• Anthony Quindroit 20/11/2024

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