1er mai : manifestons contre l’extrême droite, pour la paix, les libertés et la justice sociale !
Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 avril 2025
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 avril 2025
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 mars 2025
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 19 mars 2025
Objet : Demande d’éclaircissements sur l’organisation des concertations retraites.
Monsieur le Premier ministre,
Dès votre nomination à Matignon, lorsque vous avez reçu les organisations syndicales, nous vous avions indiqué pour la CGT l’urgence d’abroger la réforme des retraites, étape vers la retraite à 60 ans que nous défendons. II s’agit d’une exigence sociale mais aussi démocratique alors qu’une large majorité de Françaises et de Français comme de député.e.s sont toujours opposés à cette réforme.
Lors de votre déclaration de politique générale vous avez annoncé la mise en place de concertations sur les retraites avec pour seule exigence de ne pas dégrader l’équilibre financier. Le rapport de la cour des comptes a confirmé les chiffres du COR, indiquant qu’il n’y a ni déficit caché, ni dérive incontrôlée des régimes de retraites qui resteront autour de 14% de Piß, malgré l’augmentation du nombre de retraités, du fait des violentes réformes imposées au monde du travail depuis 1993. Cependant, ce rapport confirme ce que les organisations syndicales disent depuis 2 ans : la violente réforme de 2023 n’a même pas permis de rétablir les comptes. II faut donc abroger cette réforme et concentrer le débat sur les leviers pour augmenter les recettes de nos régimes de retraites.
Suite à la réception, le 27 février dernier, de votre lettre de mission sur l’organisation de ces concertations, je tiens au nom de la CGT à vous demander des éclaircissements sur 4 points majeurs.
1- Dans votre déclaration de politique générale vous avez fixé pour seule exigence la nécessité de ne pas dégrader l’équilibre financier. Pourtant, dans votre lettre de mission, vous fixez comme nouvelle exigence de rétablir l’équilibre financier des retraites à horizon 2030. Alors que l’objectif initial était de financer l’abrogation de la réforme pour qu’elle soit neutre pour les finances publiques- soit, d’après les chiffres de la cour des comptes un besoin de financement
de 10 milliards environ à horizon 2030- l’addition est ainsi alourdie de 6,6 milliards en 2030 et 15 milliards en 2035, ce qui change considérablement la donne et laisse à penser que ces concertations visent à réaliser une nouvelle réforme! Ce d’autant que vous indiquez que ces propositions ne doivent pas dégrader la « compétitivité » de notre pays, en faisant référence à un deuxième rapport de la cour des comptes que vous avez commandité depuis. Alors que le président de la cour des comptes s’était engagé à ne privilégier aucune piste pour ne pas influer sur les concertations, son premier rapport reprend déjà des chiffres totalement contestables du Trésor laissant croire qu’augmenter les cotisations sociales supprimerait des emplois. Etonnement, personne ne s’inquiète de l’effet récessif d’une baisse des pensions des retraités,
ou de l’augmentation du chômage et des incapacités professionnelles liés au report de l’âge de départ en retraite… Suite à l’interpellation de la CGT, le président de la cour des comptes a été contraint de reconnaitre que ces prévisions n’étaient pas établies. Les concertations n’ont même pas débuté qu’elles sont déjà corsetées de façon inacceptable, et l’orientation de ce 2° rapport nous inquiète au plus haut point !
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2- Dans la lettre de mission, vous indiquez qu’à défaut d’accord, la loi actuelle s’appliquera. Ceci revient à placer le patronat en position de force. li le martèle, il tient à cette réforme et n’aura donc aucun intérêt à faire des concessions puisqu’il sait qu’en l’absence d’accord, la réforme continuera à s’appliquer ! La réforme des retraites a été imposée sans vote du parlement, contre l’avis d’une large majorité de françaises et de français et malgré une mobilisation sociale
historique, il s’agit donc aussi d’un enjeu démocratique. Comme vous vous y êtes engagés face aux députés le 16 janvier, il est fondamental de garantir qu’en tout état de cause, c’est le parlement ou le peuple qui auront le dernier mot !
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3- Ces concertations sont ouvertes pour renforcer notre système par répartition. Elles ne peuvent donc pas avoir pour objet d’introduire un régime par capitalisation qui confierait nos retraites à des fonds spéculatifs. Nous fêtons cette année les 80 ans de la sécurité sociale, bâtie en 1945 par les mouvements de Résistance pour souder la Nation par un principe de solidarité. C’est ce système par répartition qui nous a permis de tenir face à toutes les crises alors que de nombreux
fonds de pension s’effondraient. C’est ce système par répartition qui est notre meilleure garantie face aux incertitudes financières, environnementales voire géopolitiques qui menacent nos sociétés. Pourtant, face à la demande insistante du patronat, vous n’avez pas écarté la capitalisation des concertations qui s’ouvrent. Nous vous demandons un engagement clair sur ce point.
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4- Enfin, alors que nous vous alertons depuis des semaines, votre courrier ne clarifie pas le périmètre des discussions en maintenant un « format du 17 janvier» associant certaines organisations syndicales et patronales mais pas toutes. Le gouvernement ne peut choisir ses interlocuteurs. Les discussions sur le régime général doivent se tenir avec les organisations représentatives, et toutes les autres discussions plus transversales, ayant un impact sur l’ensemble des régimes, doivent associer l’ensemble des organisations syndicales et patronales.
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Monsieur le Premier ministre, comme vous le savez, la question des retraites est un sujet majeur pour les Françaises et les Français. La CGT restera toujours porteuse du mandat des millions de salariés, de jeunes et de retraités se sont mobilisés pendant 6 mois pour dénoncer la réforme des retraites. Nos propositions pour financer l’abrogation de la réforme des retraites sont prêtes, nous vous les avons remises dès janvier. Cependant, les concertations ne pourront avancer de façon équilibrée si les quatre points listés ci-dessus ne sont pas clarifiés.
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Vous remerciant par avance de votre réponse, je vous prie d’agréer, M. le Premier ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Sophie Binet,
Secrétaire Générale de la CGT.
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 mars 2025
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 mars 2025
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Le patronat prétend augmenter le taux d’emploi en reculant l’âge de départ en retraite, alors même que ses propres adhérents licencient massivement, en particulier les personnes proches de l’âge de la retraite.
Les réformes de 2010 et 2023 ont aggravé la situation, la CGT dénonce le creusement des inégalités avant la retraite et en répercussion au moment du départ, avec pour conséquence 10% des retraités sous le seuil de pauvreté. Les personnes licenciées à partir de 55 ans subissent d’intenses difficultés à retrouver du travail. Les milliers de travailleurs et travailleuses, subissant actuellement les plans de licenciement, notamment dans l’industrie et le commerce, sont la preuve que cette situation perdure.
De plus, le MEDEF a commandé une étude sur le dispositif “carrières longues” et une simulation de durcissements de ce dispositif pour économiser entre 1,2 à 2,3 milliards par an, au détriment des personnes ayant commencé à travailler très tôt. Pourtant de nombreuses personnes n’ont déjà pas d’accès au dispositif “carrière longue” à cause de périodes de chômage, d’arrêt maladie de longue durée, de période d’éducation des enfants ou d’accident du travail et de maladie professionnelle.
La position patronale vise à réduire ce dispositif au prétexte que plus de 20% sont concernés par un départ en carrière longue. La position de la CGT est au contraire d’améliorer ce dispositif, en obtenant le retour à un âge de départ à 62 puis à 60 ans et dans tous les cas en réduisant la durée d’assurance.
Par ailleurs, le flou n’est pas encore levé sur les conditions de discussion pour les agents des trois versants de la fonction publique, pour lesquels le ministre de la Fonction publique doit convoquer le conseil commun de la fonction publique.
La CGT rappelle ses exigences, à commencer par l’abrogation de la réforme de 2023, la suppression de l’accélération des 43 annuités de la réforme Touraine et le rétablissement des régimes pionniers, dans la visée du rétablissement de la retraite à 60 ans. Elle appelle à rejoindre la mobilisation des retraités, jeudi 20 mars prochain.
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 mars 2025
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C’est un droit à une vie après le travail. On accède à ce droit en cotisant. À 62 ans, un·e salarié·e sur deux n’est déjà plus en emploi.
Les 64 ans ne font qu’allonger la précarité pour des milliers de senior·es enfermé·es entre chômage, minima sociaux, maladie, invalidité et emplois précaires.
Repousser l’âge de départ, c’est ignorer la réalité des millions de travailleur·ses soumis·es à des conditions éprouvantes.
La pénibilité réduit l’espérance de vie en bonne santé.
La CGT se bat pour gagner des départs anticipés dès 55 ans, par exemple, en bénéficiant d’un trimestre de bonification par année d’exposition aux travaux pénibles.
Les femmes partent plus tard à la retraite et perçoivent une pension inférieure de 38 %, en moyenne, à celle des hommes.
Il faut 15 milliards d’euros d’ici 2030, pour financer l’abrogation de la réforme Macron.
Allons chercher l’argent :
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 10 mars 2025
LES USAGERS RISQUENT DE PAYER L’ELECTRICITE AU PRIX FORT EN 2026
L’ARENH (Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique) permettait déjà aux entreprises privées et
fournisseurs alternatifs de bénéficier d’un prix bradé sur la production nucléaire historique.
Or, l’ARENH est désormais remplacé par La nouvelle régulation du marché, adoptée en avril 2024 au
Parlement européen (avec l’appui des macronistes, de la droite, des socialistes, et grâce à l’abstention du
RN).
Celle-ci va conduire à de nouvelles hausses, de 19 % en moyenne, sur les factures d’électricité des usagers !
Cette nouvelle régulation définit en effet un mode de calcul des tarifs exclusivement basé sur les prix élevés
et instables des marchés de gros.
Sans surprise, les producteurs privés ont immédiatement soutenu ce nouveau système qui conforte le marché et l’ouverture à la concurrence et privilégie les profits des producteurs, dont ceux d’EDF.
LA SORTIE DU MARCHÉ EST UNE NÉCESSITÉ et une URGENCE !
INDÉCOSA-CGT 76 réaffirme que tous ces mécanismes dits « de régulation » sont des leurres car, tant que l’ouverture à la concurrence du marché de l’électricité existe, les factures ne pourront évidemment qu’augmenter.
INDÉCOSA-CGT 76 s’oppose à toute nouvelle augmentation des factures qui aggraverait encore les inégalités sociales et s’ajouterait aux inacceptables hausses de 10 % en 2024 et de 25 % en 2023, alors même que le cap du million de foyers confrontés à des coupures ou à des réductions de puissance en raison d’impayés a été dépassé en 2022 (+4 % ) ! Cette flambée des prix est la conséquence de la spéculation subie par les usagers depuis l’ouverture du marché.
Elle coïncide avec les profits record des multinationales du secteur, dont Total mais aussi EDF avec notamment ses 11 milliards de profits réalisés en 2024 ! Face à cela, INDÉCOSA-CGT 76 revendique le retour à un Tarif Réglementé de Vente de l’Électricité
basé sur les coûts de production, de transport, de distribution et de commercialisation et sans profit pour les producteurs !
Nous exigeons la création dans les plus brefs délais d’une commission représentant toutes les parties prenantes : les pouvoirs publics, les associations de consommateurs, les usagers. Cette commission serait chargée de proposer une refonte complète de la régulation du marché de l’électricité.
INDÉCOSA-CGT 76, avec votre soutien, défendra cette revendication et se tient à votre disposition pour toute question.
Pour le secteur énergie d’INDÉCOSA-CGT 76, Bruno PREPOLESKI
INDECOSA-CGT 76 187 rue Albert Dupuis 76000 Rouen
Tél : 02.35.58.88.53 mail : indecosa@cgt76.fr
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 26 février 2025
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 12 février 2025
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l’interwiew rado en cliquant sur le lien ci dessous
Où en est le projet autour de la papeterie Chapelle Darblay à Grand-Couronne ? Arnaud Dauxerre, représentant des cadres est l’invité de « ici Normandie », ce mercredi 12 février, à l’occasion de notre journée spéciale « emploi et désindustrialisation ».
Le chômage est en hausse en Normandie, au dernier trimestre 2024, avec plus 3,9% des sites qui ferment. On dresse ce constat à l’occasion de la matinale et journée spéciale emploi et désindustrialisation ce matin. Malgré le contexte morose, il y a des lueurs d’espoir en Normandie. C’est le cas de Chapelle Darblay par exemple, la papeterie de Grand-Couronne.
Elle a fermé ses portes il y a 4 ans. Pourtant, encore aujourd’hui, un trio de salariés se battent pour sa réouverture. Parmi eux, Arnaud Dauxerre, le représentant des cadres de la papeterie « pour qui c’est un combat juste et évident. Lâcher, ça ne fait pas partie de notre vocabulaire. Chapelle Darblay, c’est un fabuleux projet, c’est une démonstration que l’industrie, condamnée par certains industriels, peut renaître sur la base d’études techniques et économiques pertinentes. Trois ans après, il reste un grand absent, l’Etat. »
Les porteurs du projet voudraient que l’Etat leur « prête » 27 millions d’euros. L’investisseur Fibre Excellence a mis de son côté 245 millions d’euros sur la table. Mais pour l’instant, l’Etat ne se prononce pas. « On a besoin de cet accompagnement de l’Etat. La préemption s’est faite avec l’appui de l’Etat, et il reste absent. Fibre Excellence, l’industriel canadien l’a bien dit, tout dépend du politique pour faire avancer ce dossier ». Un rendez-vous est prévu mi-février avec le ministre de l’Economie.
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Posté par cgtchapelledarblayupm le 6 février 2025
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