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Loi redéfinissant le licenciement économique (1er juillet 2013)

Posté par cgtchapelledarblayupm le 29 juin 2013

Loi redéfinissant le licenciement économique (1er juillet 2013) : Le rôle des Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) est précisé par décret et instruction(décret et instruction en pièces jointes)

 

Les nouvelles règles d’élaboration d’un PSE entrent en vigueur au 1er juillet 2013, le décret d’application de la loi de sécurisation de l’emploi étant publié au JO du 28 juin. Sans surprise, l’autorité administrative chargée de contrôler le PSE est la (…)

fichier pdf instruction_Sapin_pse (1)

fichier pdf instruction_Sapin_pse

Loi sur la flexibilité du travail applicable au 1er juillet - Refonte totale de la procédure des licenciements économiques (fiche d’utilisation + texte de la loi)

fichier pdf Loi_securisation_de_l_emploi_LICENCIEMENTS_COLLECTIFS

fichier pdf loi-2013-504-14-juin-2013-securisation-emploi

 

 

 

 

 

 

 

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« Les salariés ont besoin d’une CGT de combat »

Posté par cgtchapelledarblayupm le 25 juin 2013

« Les salariés ont besoin d’une CGT de combat » dans CGT UPM Chapelle Darblay siteon0c707d« Les salariés ont besoin d’une CGT de combat »

mardi 25 juin 2013

Le nouveau numéro 1 de l’UD 13, Thierry Pettavino, se veut inflexible

Son heure est venue. Après dix ans à la tête de l’union départementale (UD) CGT, Mireille Chessa vient de passer la main à Thierry Pettavino, un jeune syndicaliste de 42 ans, venu de l’agroalimentaire. Avec un credo dans la ligne du mandat précédent : tout pour l’offensive.

Vous venez d’être désigné à la tête de l’UD 13. Quel sentiment domine ?

Déjà, une grande fierté. Cette union départementale est particulièrement forte, avec 33 000 syndiqués. Des chiffres qui progressent chaque année. Au-delà, c’est la combativité qui l’emporte !

Quelles orientations comptez vous donner à ce mandat ?

Je m’inscris dans une démarche de lutte. Mais pas lutter pour lutter, en étant conscient des problèmes actuels. Les besoins des salariés et des citoyens sont grands. On le sait bien. On voit un désespoir grandissant qui fait remonter à la surface les idées d’extrême droite. Qu’il faut anéantir. Elles sont le contraire de solidarité et des valeurs qu’on porte. Aujourd’hui, nous avons donc besoin d’une CGT offensive. Notamment par rapport aux retraites, à la protection sociale…

La CGT marseillaise est réputée pour être sur une ligne plus radicale que la direction nationale. Est-ce que ça va changer ?

La CGT est avant tout liée à des questions de territoire. Ce n’est pas une question de personne ni de direction. Mais de puissance. Quand on vous annonce une fermeture d’usine, si, sur place, on a trois délégués CGT, ou 100 sur 150, on n’a pas le même rapport de force. Et de fait, pas la même position.

Dans un contexte de crise économique les syndicats semblent impuissants… On a effectivement des pans entiers du tissu industriel qui risquent de disparaître. On fait comme si de rien n’était. Et un beau jour, on se réveille avec un plan social là, un autre ailleurs… C’est intolérable.

Mais impuissants, on ne l’est pas. Au contraire, on se bat. Je prendrais l’exemple Fralib à Gémenos. Qui est toujours ouvert grâce à cette lutte. Je parlerais encore des chantiers navals de La Ciotat. Pendant 20 ans, ils ont essayé de les fermer et de faire une marina à la place. On a toujours refusé. Aujourd’hui, le portique est debout et des milliers de salariés y travaillent. Ces exemples gagnants nous renforcent dans l’idée qu’il ne faut jamais lâcher !

D’autres dossiers sont plus alarmants, à l’instar de la SNCM…

Mais à la SNCM, on n’a pas encore perdu ! On a effectivement entendu des discours dangereux. Tout le monde doit prendre ses responsabilités  ! Il faut savoir qu’à la SNCM, les salariés ont obtenu une minorité de blocage avec l’État. On peut donc empêcher un plan social si le gouvernement joue le jeu…

On a la sensation que l’arrivée de la gauche bride la mobilisation.

Les manifestations contre l’accord sur la sécurisation de l’emploi se sont révélées bien maigres. Ce n’est que plus difficile. On sortait d’un gouvernement de droite aux idées rétrogrades, acquis au monde de la finance. Ensuite, le nouveau pouvoir socialiste à fait illusion, très peu de temps…

Dans cette affaire, on a fait ce qu’on avait à faire. Même si on n’était pas des centaines de milliers dans la rue. Et quand les salariés vont se rendre compte des conséquences de l’ANI tout le monde dira qu’il était très néfaste. En Espagne, un même accord a été signé en 2009. Des armes données au patronat, qui a les mains libres pour licencier et précariser à outrance. Derrière, est né le mouvement des Indignés…

La conférence sociale vient de s’ouvrir à Paris entre les syndicats et le président Hollande. Qu’en attendez-vous ?

On ira pour porter les propositions de la CGT. Mais les premiers échos ne sont pas bons. On ne semble pas aller vers la politique de relance que nous appelons de nos voeux. L’autre divergence forte lié est la réforme des retraites. Si c’est l’allongement de la durée de cotisation qui est préconisé, quelle sera votre réaction ?

Le congrès de l’union départementale a déjà pris ses responsabilités en refusant frontalement cette option. Tout l’été, on va continuer à informer et mobiliser l’ensemble des salariés, quelle que soit l’étiquette syndicale. Quand on voit les sondages sur ce sujet, où la majorité des Français est de notre avis, le gouvernement à du souci à se faire.

Vous pensez que le parti socialiste peut encore changer de cap ?

Il en a tout intérêt. On se rappelle bien de ce qui s’est passé à la présidentielle de 2002. Quand on voit les résultats de toutes les élections locales, avec le Front national et la droite en tête, on se dit que le gouvernement doit prendre conscience de la déception des salariés . Et se positionner plus franchement en leur faveur. Vous verrez : on va l’aider. ■

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UPM Docelles – La papeterie en grève ! le 14 juin

Posté par cgtchapelledarblayupm le 21 juin 2013

UPM Docelles – La papeterie en grève ! le 14 juin

B.Boulay 15 juin 2013 0

UPM Docelles – La papeterie en grève !

Usine bloquée toute la journée et la nuit jusqu’à 4h demain matin, les salariés en ont assez ! Le groupe a prélevé 300T sur leur stock de pâte à papier pour une autre usine en Allemagne, alors que UPM est obligée de refuser des commandes. Trop c’est trop ! Les UPM n’en peuvent plus et la grève est unanime.

Les salariés sont dans l’incertitude depuis 6 mois, mais la goutte qui fait déborder le vase, c’est l’annonce mercredi, par la Direction, d’un prélèvement de 300 Tonnes sur le quota limité de pâte à papier d’UPM, pour une usine en Allemagne.

300T de pâte à papier en moins !

« Le groupe vient d’avoir un nouveau marché en Australie, explique Emmanuel Kohler, secrétaire du Comité d’entreprise, et pour y répondre, il prélève de la pâte à papier sur notre stock pour faire fabriquer ce papier recyclé à forte valeur ajoutée par une usine d’Allemagne. »

La fabrication n’a pas été confiée à UPM Docelles, parce qu’elle fournit en principe les marchés européens, et c’est l’Allemagne qui fournit le reste du monde.

Usine bloquée

Assommés par ce nouveau coup, les salariés réagissent. C’est la grève ! Aujourd’hui vendredi, l’usine est complètement bloquée, pour toute la journée jusqu’à 4h du matin. Tous les arrivages et départs sont bloqués. La machine est arrêtée. C’est 450 Tonnes de papier qui ne seront pas fabriquées  aujourd’hui !

« Toute l’équipe du matin était en grève, l’équipe de l’après-midi aussi. Seuls, 2 ouvriers de la maintenance  n’ont pas suivi le mouvement », constate Emmanuel Kohler.

35 camions en attente

Sébastien Saget, délégué CGT, est allé voir sur place l’usine Greenfield à Château-Thierry, qui fabrique pour UPM, la pâte à papier de qualité et agréée, avec une délégation de salariés. Une manière de protester contre cette décision de la direction et de la faire savoir.  « Ils ont été très bien reçus, commente Emmanuel Kohler en contact téléphonique avec Sébastien Saget. Mais ils ne pouvaient pas faire grand chose ».

Des commandes devaient être traitées aujourd’hui. Il était prévu 35 camions à charger pour une livraison lundi. Les camions arrivent et repartent avec leur cargaison.

Un transfert de commandes détourné

Le maire, Christian Tarantola est passé à l’usine. Il compte sur la force politique pour faire pression sur le groupe.

« Le groupe nous a garanti qu’ils ne feraient pas de transfert de commandes d’un site à l’autre, mais il le fait autrement en jouant sur la matière première. C’est vicieux. », commente encore Emmanuel Kohler.

La grève sera arrêtée demain matin vers 4h, avec la possibilité de reprendre la semaine prochaine.

Jean-Marc Louvet, directeur UPM France n’a pas pu être joint.

 

 
Personnel en grèveIl devra repartir avec sa marchandiseCamion bloquéUPM 61Greenfield à Château-Thierry
Personnel en grève - Il devra repartir avec sa marchandise - Camion bloqué – Greenfield à Château-Thierry

 

UPM 81Personnel en grève
 
Personnel en grève

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Corse-Matin écrit l’actualité sur le papier recyclé d’UPM

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 juin 2013

 

Corse-Matin écrit l’actualité sur le papier recyclé d’UPM

Ils peuvent avoir jusqu’à sept vies, comme les chats. Un même papier peut être recyclé pour impression, jusqu’à sept fois. C’est le cas des feuilles de journal destinées à la réalisation de Corse-Matin.Corse-Matin écrit l'actualité sur le papier recyclé d'UPM dans CGT UPM Chapelle Darblay corse-300x200

Depuis plusieurs années maintenant, le quotidien insulaire est imprimé sur le papier recyclé produit par la société UPM Chapelle Darblay, à Grand-Couronne (près de Rouen). Du Made in France, élaboré dans un souci d’écologie et de réduction de l’émission de CO2.

« UPM fait partie des groupes leaders mondiaux de l’industrie forestière, d’origine finlandaise, développe Corinne Brianchon, responsable de la communication d’UPM France.L’entreprise se découpe en trois grandes divisions : l’énergie (avec notamment l’élaboration en cours d’un biodiesel), pour optimiser la fibre de bois sous toutes ses formes, le papier de différentes sortes (journaux, magazines, livre, de photocopie ou spécialisé type annuaire…) et les matériaux évolués (étiquettes ou complexe autoadhésifs). »Une société qui se félicite d’être « numéro un européen » pour le papier journal.

« L’usine de Chapelle Darblay a une capacité de production de 370 000 tonnes sur deux machines », poursuit-elle.

Pour passer de « l’usé » au recyclé, le papier doit suivre un parcours bien précis.

Réduire l’impact sur l’environnement

Tout d’abord, il faut récupérer (via les tris de déchets) journaux, magazines et autres auprès des collectivités locales. Parmi eux, le papier provenant de Corse arrive d’abord par camion (en empruntant la voie maritime) avant d’être acheminée en train jusqu’en Normandie. « Nous faisons tout pour optimiser les déplacements afin de limiter les émissions de CO2 », précise-t-elle. Ainsi, le transporteur insulaire déposant son papier « à traiter » repartira avec un chargement de papier recyclé. Pour qu’aucun voyage ne soit inutile, explique-t-on chez UPM.

Une fois arrivé dans l’usine, place à l’opération de désencrage, pour lui donner une seconde vie. Première étape : la trituration. Son but est d’enlever les matières impropres, « grossières ». « Le papier est placé dans une sorte de tambour, en suspension dans l’eau, afin de le ramollir », ajoute Corinne Brianchon. En clair, celui-ci est débarrassé des plus grosses impuretés dans une sorte « d’essoreuse à salade géante », ou de « grand tambour de machine à laver ». Mais le parcours du papier est loin d’être terminé. Il doit ensuite passer à l’étape « cyclone ». Là, il est aspiré dans un « vortex » de forme conique pour séparer les matières impropres dites « fines » (type : agrafes).

Il poursuit sa cure de jouvence au cours de l’opération « flottaison ». « Le but est de nettoyer l’encre des fibres, ajoute la responsable de la communication. La pâte à papier est en suspension et l’on injecte des bulles d’air au fond de la cuve. Il faut savoir que l’encre est hydrophobe, elle n’aime pas l’eau. Lorsque les bulles remontent elles emprisonnent l’encre pour la ramener à la surface. Cette dernière est ensuite retirée à l’aide d’une écumoire. La pâte est encore plus propre et peut être envoyée sur la machine à papier. »

Mais le travail de restauration n’est pas terminé. À ce stade, la « pâte à papier » est gorgée d’eau à 99 %, pour 1 % de fibres.

Bobines sur mesure direction Lucciana

Elle doit donc être séchée. Pour cette nouvelle opération, celle-ci est injectée sur une toile microperforée, qui a la fonction de « tamis ». Cela permet de créer une sorte de « matelas fibreux », dans le but de confectionner une épaisseur de fibres entremêlées. « À chaque étape de la machine, on va égoutter la pâte », poursuit-elle. Après cette étape, le « matelas fibreux » est écrasé dans une presse en granit. À ce niveau, la matière a déjà perdu 50 % d’eau.

Enfin, la pâte s’engouffre dans un grand tunnel chauffé pour être séchée. Au terme de cette étape il lui reste tout juste 8 % d’humidité.

« La chaudière fonctionne à la biomasse, une énergie verte, remarque Corinne Brianchon.Ce qui réduit grandement l’impact sur l’environnement. »

Une fois le papier propre et sec, il est agencé en une gigantesque bobine « mère » de 30 tonnes. « Elle fait 8,50 mètres de large, développe-t-elle.Des couteaux vont alors trancher le papier à la largeur demandée pour confectionner des bobines  » filles « . »

Avec une bobine « mère » on peut réaliser entre 30 et 50 bobines « filles ».

Les dimensions dépendent du grammage et du diamètre demandé par les clients de l’entreprise. La plus grosse bobine « fille » réalisée pour une commande spéciale par la société pesait environ trois tonnes.

Les bobines « filles » de ce papier « tout neuf » sont alors prêtes à repartir en train, avant d’être réceptionnée par un transporteur.

Direction l’imprimerie de Lucciana, pour incarner de nouveaux exemplaires de Corse-Matin. Pour l’une de leurs sept vies.

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Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr) mercredi 19 juin 2013

Posté par cgtchapelledarblayupm le 20 juin 2013

Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr)

mercredi 19 juin 2013

La suite du mouvement entamé ce mercredi a été votée par une courte majorité. Aux Papeteries de Condat, au Lardin-Saint-Lazare (24), alors que les négociations du plan social (qui prévoit 139 licenciements) sont terminées, la production était en grève ce mercredi matin et une assemblée générale s’est tenue en début d’après-midi pour décider de la poursuite du mouvement. La grève a été reconduite par une courte majorité des votants (devant presque autant d’abstentions).

Deux syndicats, deux positions

Grève reconduite aux Papeteries de Condat contre les 139 licenciements (sud-ouest.fr) mercredi 19 juin 2013 dans Autres papeteries CGT condat1-300x224Devant 80 salariés (principalement de la ligne 6 menacée de fermeture), Patricia Canto (FO) s’est fait plutôt l’écho de ceux qui ne pensent pas poursuivre, disant que le travail des syndicats est « d’être vigilants sur la pérennité de l’entreprise ».

Guy Bretout, de la CGT, a quant à lui martelé : « Si on ne se bat pas, on a perdu d’avance. Il n’y aura pas de modification de la position de la direction, ni des pouvoirs publics s’il n’y a pas maintien du mouvement. »

Des différences d’interprétation qui sont évidentes chez les salariés, tiraillés entre volonté de lutter et découragement. Les plus jeunes se sentent déjà condamnés (« Dans deux mois je suis au chômage »), et les plus anciens ont peur pour l’avenir du site.

Beaucoup ont aussi regretté que le mouvement de grève n’ait pas été décidé plus tôt. Cependant après discussion, il a été décidé que les grévistes iraient bloquer l’entrée de l’entreprise pendant que les délégués syndicaux demanderaient un rendez-vous pour une reprise des négociations avec la direction.

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Stora Enso annonce 2 500 suppressions d’emplois dans le monde

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 juin 2013

Stora Enso annonce 2 500 suppressions d’emplois dans le mondeStora Enso annonce 2 500 suppressions d'emplois dans le monde dans Autres papeteries CGT stora

Stora Enso a annoncé qu’il allait supprimer 2 500 emplois, majoritairement en Finlande et en Suède afin de répondre à la « faiblesse de l’économie européenne » et à « la mauvaise rentabilité » de la compagnie. Le papetier finlandais avait déjà annoncé un plan de restructuration qui prévoit notamment la vente ou la fermeture de son usine de Corbehem dans le Pas-de-Calais.

Le papetier finlandais Stora Enso a annoncé mardi qu’il allait supprimer 2.500 emplois, majoritairement en Finlande et en Suède afin de répondre à la « faiblesse de l’économie européenne » et à « la mauvaise rentabilité » de la compagnie.

Avec 750 suppressions prévues, la Suède est ainsi le pays le plus touché, suivi par la Finlande où 650 postes devraient disparaître. Dans le reste de l’Europe, Stora Enso va supprimer au total 850 emplois et 250 hors d’Europe.

 Ces réductions d’effectifs interviennent dans le cadre du plan de restructuration du groupe annoncé fin avril.Le groupe avait alors annoncé que l’organisation de l’entreprise allait être revue avec la fusion des secteurs forestier et papier, les secteurs des biomatériels et des emballages demeurant indépendants.

« La demande dans les médias imprimés en Europe continue à diminuer de manière structurelle pour la septième année consécutive », avait noté fin avril le PDG du groupe, Jouko Karvinen, défendant une réduction des coûts fixes à hauteur de 200 millions d’euros d’ici le deuxième trimestre 2014.

Plus récemment, en octobre 2012, le groupe finlandais Stora Enso avait déjà annoncé vouloir fermer ou céder trois de ses usines en Europe, dont une en France. Parmi les sites touchés figure l’usine de Corbehem, dans le Pas-de-Calais, qui produit du papier magazine et emploie environ 350 personnes.

 

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LA CGT PRÉPARE LA CONFÉRENCE SOCIALE 2013

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 juin 2013

LA CGT PRÉPARE LA CONFÉRENCE SOCIALE 2013 dans CGT UPM Chapelle Darblay siteon0c707dTrois questions à Thierry Lepaon.

http://cgt.fr/Trois-questions-a-Thierry-Lepaon.html

 

Thierry Lepaon a répondu, à trois questions lors de la conférence de presse du 17 juin 2013. La première question porte sur la conférence sociale, ensuite il nous fait quelques commentaires sur le rapport de madame Yannick Moreau. Et pour finir Thierry Lepaon nous parle des initiatives de la CGT pour la rentrée.

 

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appel du 18 juin 2013 !

Posté par cgtchapelledarblayupm le 18 juin 2013

appel du 18 juin 2013 !

résistez, s’ indignez , luttez !

appel du 18 juin 2013 ! dans CGT UPM Chapelle Darblay 580501_613863711965702_737117123_n2935737_602041553147918_146276469_n2 dans CGT UPM Chapelle Darblay

 

 

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Vosges – grève de 24h aux papeteries de Docelles

Posté par cgtchapelledarblayupm le 15 juin 2013

Vosges – grève de 24h aux papeteries de Docelles

Les salariés de l’usine légendaire reprochent la décision du groupe UPM consistant à réduire l’approvisionnement en matière première de 300 tonnes sur les 2000 qui sont livrées chaque mois sur le site de Docelles. Ils réclament donc des explications

L’information est tombée lors d’une réunion informelle mercredi. Le groupe annonce ne pas avoir d’autre choix que de réduire l’approvisionnement de l’usine en pâte à papier. La cause : le transfert de cette pâte sur un autre site…
« Nous n’avons qu’un seul fournisseur, installé  à Château Thierry » explique Emmanuel Kohler (secrétaire du CE). « Et il ne lui est pas possible de livrer davantage de pâte à papier ! » ajoute t’il.
Or, un nouveau marché est apparu, et la direction a accepté d’y répondre en utilisant une partie du quota affecté à Docelles.

Le personnel s’est donc mis en grève vendredi 14 juin, et l’usine est restée fermée. Aucune livraison, ni sortie de production…
L’activité doit reprendre samedi 15 juin à partir de 4h.En début de semaine prochaine, le personnel doit redemander aux responsables du groupe de plus amples explications…et n’excluent pas de reprendre le mouvement.

Une usine en sursis

A la mi janvier 2013, le groupe avait annoncé soudainement sa décision de vendre l’usine de Docelles dans les 6 mois à venir.
L’échéance est fixée au 17 juillet prochain. Il a mandaté le cabinet Ernst et Young pour trouver un repreneur.
Trois potentiels auraient été trouvés : « des financiers » précise Emmanuel Kohler, qui redoute « le fait qu’ils ne disposent probablement pas d’un service commercial, à la différence d’un industriel« .
Pour sa part, le conseil général des Vosges a lui aussi recherché des candidats potentiels. « Deux ont manifesté leur intérêt pour l’usine de Docelles, ce qui est plutôt encourageant » précise le maire de Docelles, Christian Tarantola.
L’un de ces deux prospects serait aussi un financier, tandis que l’autre serait un industriel… « Peut être même un papetier » ajoute Emmanuel Kohler.

                                                   Nul doute que ces 30 prochains jours vont être décisifs. 

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7 jours FILPAC

Posté par cgtchapelledarblayupm le 14 juin 2013

7 jours FILPAC

« Contre le bourrage de crâne ». Cette expression d’Albert Londres contre la propagande militaire de 14-18 est d’une furieuse actualité. Experts de tout poil, chiens de garde, gouvernement, patrons et droites y vont de leurs aboiements : « rien n’est plus urgent de faire la peau aux retraités, et d’empêcher les jeunes d’être embauchés. Sauf au rabais. » Les commissaires européens chavirent de bonheur, ils l’ont presque, leur « réforme structurelle ». Sauf… Sauf si on s’en mêle. Faut lui faire sa fête, à l’austérité. Sinon, même les congés payés vont y passer.

Comment allons-nous sortir de cette conférence des 20 et 21 juin ?

Déshabillés ou déterminés à l’action ?

 Dans le dernier 7 Jours nous posions les questions suivantes au président et à son Ier ministre :7 jours FILPAC dans CGT UPM Chapelle Darblay 7-jours-300x297

« Ces questions s’adressent tant au président de la République qu’à son Premier ministre : les conditions d’un dialogue loyal pendant cette conférence des 20 et 21 juin sont-elles réunies ? De quelle conférence sociale s’agit-il ? De négociations ou d’établissement d’un constat partagé pour justifier la politique d’austérité ? »

 Hollande et Ayrault nous ont répondu ! Au-delà de nos espérances :

 -          Mardi 11 juin, 3 000 emplois d’un coup sont supprimés. Michelin, Virgin, Gad (abattoirs). Pas un mot de l’exécutif, même pas une pirouette de Montebourg.

 

-          Jeudi 13 juin, le conseil constitutionnel valide la loi du gouvernement et de sa majorité sur les licenciements et la flexibilité. Avec en prime un cadeau aux assureurs, qui s’engouffreront dans la brèche de la remise en cause des accords sur les complémentaires santé, puisqu’ils sont qualifiés à la course à ce marché, hier dévolu aux organismes mutualistes.

-          Croisade contre les retraites solidaires. Depuis des semaines, mais ces derniers jours tout spécialement, le bourrage de crânes contre la retraite solidaire donne toute sa puissance médiatique. Un assaut de démagogie contre les fonctionnaires et les retraités antis. Du Sarkozy dans le texte.. Ayrault commet une tribune dans le Monde daté du samedi 15 juin pour dire que tout le monde va payer. La CFDT, dans l’Express du 12 juin, souscrivait par avance à l’attaque contre la retraite des fonctionnaires, en syndicat du gouvernement.

-          Le Medef se choisit un nouveau roi, Gattaz, fils de Gattaz, qui veut « libérer l’entreprise » (sic). De quoi ? Des impôts et des cotisations patronales. Et des syndicats ?

 Alors c’est quoi, cette conférence dite sociale ? 

  • Une chambre d’enregistrement des décisions et des négociations conclues par ailleurs et par avance ?
  • Une séance de valorisation de l’alliance Medef-CGPME-UPA-CFDT-CFTC-CGC, dont le programme commun servira de fil conducteur aux 6 tables rondes ?
  • Une scène de théâtre pour humilier la CGT ?
  • Une simple formalité pour un gouvernement qui veut poursuivre son chemin d’austérité ?

Tout ça à la fois.

 Le printemps est pourri, mais ce n’est pas la saison de la résignation !

 Juste avant ladite conférence, deux grèves montrent l’état d’exaspération contre l’austérité et les directives européennes, servilement appliquées par Ayrault et Hollande. Contrôleurs aériens et cheminots ont dit, très massivement, non au démantèlement du service public. Celui-là même qui est visé par la campagne du gouvernement.

 L’alliance patronat-syndicats et l’exécutif organisent donc une conférence dont le climat change du tout au tout par rapport à la dernière. Si espoirs il y eut à l’égard de la nouvelle majorité, ils se sont envolés. Les ravages de l’austérité franco-européenne, la pression contre les salaires et la protection sociale, la destruction des emplois érigés en politique patronale permanente, tout cela mène à une tension qui va monter de plusieurs crans.

 Le 21 juin au soir, nous aurons une certitude : pour les retraites, l’emploi et les salaires rien ne sera ni défendu ni conquis sans l’action. Préparons-la. Sans délais.

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